Cette meute  s’obstine à considérer, les Algériens, qui vouent un grand respect au peuple français, et à ses élites en les qualifiant d’anti-Français.

De l’absurdité par excellence, dans la mesure ou les Algériens sont réputés être anti-coloniaux, des messagers de la paix , soutenus et compris par beaucoup de français dans leur guerre de libération. Les porte-flingues de ce déchaînement ont pour nom l’agent Driencourt , qui court toujours derrière l’Algérie,dont le cas, relève de la psychiatrie et qui devrait être présent chez les psychologues, que dans les médias.

Ciotti, ce nostalgique de l’Algérie française, qui passe de longs week-ends au Maroc agrémentés par de nombreuses gateries offertes par Rachida Dati et consœurs.
Quant à Edouard Philippe, dont sa ville normande Le Havre est liée par un traité d’amitié avec Tanger, il se soumet à toutes les directives du Makhzen.

BHL, ce sanguinaire qui se considère intellectuel , est un véritable oiseau du malheur, il sème la mort et le chaos là où il met les pieds. En revanche, pour, l’actuelle patronne de la diplomatie française, la Maroc, est incontestablement sa seconde patrie, pour preuve les incessants aller et venues, qu’elle effectue entra la France et le Maroc et cela depuis l’ère Jacques Chirac, à croire qu’elle aurait une attache bien particulière…

Tout ce beau monde, est monté au créneau contre l’Algérie, après avoir séjourné au Maroc, le royaume de la misère, de la drogue et de la débauche, ce Maroc, qui demeure l’Etat le plus aidé par la France. Ce personnel politico-médiatique, entièrement inféodé au makhzen, a fait de la royauté son lieu de villégiature, en contrepartie , l’Etat profond en France ferme les yeux sur certains makhzeniens qui mènent ,un train de vie de luxe à l’instar des élites marocaines et une grande partie de la famille royale et qui sont devenus au fil du temps le gage de la stabilité des relations franco-marocaines .

En échange de ces privilèges, certains leaders d’opinion et les responsables français ont carte blanche au Maroc, sous l’œil du Makhzen et des services de renseignements marocains. Rien n’est interdit, à ces responsables français, qui mènent une vie de nabab dans des palais privés où les hôtels mis à disposition, entre plaisirs licites et illicites . Les hommes politiques français en mal d’exotisme, ont transformé le Maroc en oasis de la prostitution, quant aux femmes politiques françaises en quête de virilité sont prêtes à tout pour transformer ce pays au bord de l’implosion en image de carte postale.

Ceci ne date pas d’aujourd’hui, il faut remonter, à l’affaire du fameux livre<< notre ami le roi>> de Giles Perrault qui fit tanguer en 1992 la monarchie de Hassan II. Depuis, rien ne s’écrit en France sur le Maroc, tout le monde ferme les yeux sur les graves violations des droits de l’homme et les souffrances du peuple marocain qui vit l’enfer sur terre. Le père de Mohamed VI, avait mis en place une structure de communication et de lobbying en France pour censurer les articles sur la réalité du royaume marocain d’une part, et d’autre part organiser des séjours au Maroc dûment récompensés en chair et aussi récompensé par le Ouissem alaouite pour que l’épisode Gilles Perrault ne se reproduise plus jamais. Parties fines, libertinage, pedophilie tous les interdits sont permis aux hommes politiques français, aux intellectuels, aux grands patrons et aux journalistes pour peu que ces derniers répondent présent, lorsqu’il s’agit de s’en prendre à l’Algérie comme c’est le cas depuis plus d’un mois.