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August 16, 2025

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La préfecture de Police de Paris, au service des terroristes du MAK et des marionnettes du Makhzen

Une semaine juste après l’interdiction du rassemblement des patriotes algériens sur la place de la République à Paris, par le Préfet de Police, pour célébrer la date du 19 mars et les accords d’Évian, et au milieu du chaos que la France est en train de vivre, le groupe des traîtres(néo-harkis) à la nation algérienne vient de montrer, encore fois, à ceux qui avaient encore des doutes, que c’est aussi le Makhzen qui signe sa feuille de route. 

En effet, ce dimanche 26 mars, la place de la République a été nettoyée du sang et des débris des affrontements policiers de la semaine, pour la rendre propre aux ennemis du  Peuple algérien. Contrairement au peuple français qui est interdit de se rassembler, pour dénoncer la politique du régime de Macron, notamment sa régression sociale, à travers l’attaque du système des retraites intergénérationnel, les agents coloniaux de la l’Algérie-française sont protégés par la police française pour cracher leurs venins sur la nation algérienne.

Le régime colonial ne peut  se passer des manifestations d’indigènes autoproclamés représentants des algériens, pour les besoins d’un système qui n’a rien plus rien à donner au peuple français en dehors de la misère, des gaz lacrymogène et la matraque du 49.3.

Ces groupuscules néo-harkis qui se sont pris aux patriotes algériens, dimanche 19 mars 2023, ont montré leur vrai visage en organisant conjointement avec des agents de la DGED (services secret marocains), dirigé par Yassine Mansouri, pour insulter l’Algérie à partir de cette place de clochardisation des peuples du Sud, débarrassée des salariés et des jeunes en lutte pour leurs droits sociaux. L’orateur des services de Mansouri, qui dès le départ a annoncé la couleur, en associant les citoyens algériens à des sujets ethniquement « berbérisés » sous la bannière de Jacques Bénet, au service de son royaume, en plus de la haine qu’il a exprimé à l’égard des autorités algériens, il s’en est pris violemment aux patriotes algériens qui se sont rassemblés à la Place du Colonel Fabien, dimanche dernier. L’agent du Makhzen n’a pas manqué l’occasion de s’attaquer aux institutions algériennes,qui avaient déjoué tous les plans concoctés par les officines néocoloniales et sionistes pour le démantèlement de l’Etat-national, legs de nos glorieux martyrs et nos valeureux moudjahidine, qui ont sacrifiés leurs vie pour l’unité du Peuple Algérien et la souveraineté de son territoire.

Cette unité affichée, comme beaucoup d’autres, entre les traîtres dénoncés par le peuple algérien et le royaume du Maroc sous la coupe du régime d’apartheid israélien, n’est pas fortuite. Elle intervient après la dernière déclaration du Président Tebboune au sujet des relations algéro-marocaines, atteignant le stade de non-retour.

Si les sujets de leur commandeur voulaient faire le Hirak, comme ils le prétendent y compris avec les néo-harkis, pourquoi ne le feraient-ils chez-eux, pour se débarrasser et nous débarrasser de l’armée israélienne installée à nos frontières ? Ils savent qu’André Azoulay, le plus vieux conseiller du monde des Rois, veille au grain sur le royaume de la drogue et de la pédophilie.

Il est clair, que le miraculé de l’entité sioniste, en l’occurrence Jacques-Marie Bourget ne s’était nullement trompé de tirer à Boulets rouges sur le préfet de police de Paris, qui avait interdit les patriotes algériens d’organiser le rassemblement du dimanche 19 mars, à la place de la république à Paris,à l’occasion de la célébration de la fête de la Victoire du 19 mars, malgré une demande formulée le 27 février, alors que les activistes de l’organisation terroriste du MAK, soutenus par les larbins du Makhzen, réussirent à obtenir l’autorisation d’organiser un rassemblement sur cette place, sachant que leur demande avait été formulée le 13 mars.

Le préfet Laurent Nunez, élevé dans la nostalgie de l’Algérie française avait interdit la Place de la République aux vrais patriotes franco-algériens souhaitant y manifester leur soutien à leur pays d’origine. Elle est, selon lui, réservée aux seuls ennemis terroristes du MAK et Rachad .

“L’origine de ma colère du jour me vient d’une lettre scandaleuse écrite par le préfet de police de Paris Laurent Nunez à un groupe de citoyens algériens ou franco-algériens, vivant en France et soucieux, par une manifestation symbolique, de montrer leur « désapprobation de cette diffamation » dont souffre leur pays d’origine” écrit Jacques -Marie Bourget, dans son article “Le préfet de police de Paris insulte l’Algérie”.

 

 

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