Des internautes ont diffusé durant les dernières heures des photos montrant le Secrétaire Général de l’ONU, António Guterres à Fès pour passer des vacances, laissant le soin à des multiples interprétations au sujet de son impartialité dans le conflit au Sahara Occidental.

Tout porte à croire que sa participation le 23 juin 2023, à une conférence à l’Institut des Sciences Politiques à Paris, en marge de sa participation au Sommet sur le Climat pour un pacte financier mondial, concoctée apparement par le Makhzen, était la première étape de sa volte face dont Algérie 54, avait souligné.

Cette volte-face survient au moment ou les pays Non-Alignés avaient adopté, lors de la dernière réunion du MNA, tenue à Bakou, une résolution  appelant à l’organisation d’un référendum d’autodétermination du Peuple Sahraoui, conformément à l’application du droit international.
Un droit international que le SG de l’ONU devrait être le premier à le défendre et éviter toute spéculation ou interprétation concernant son attitude. Passer des vacances dans un pays impliqué dans un conflit et une question inscrite dans le 4ème comité de décolonisation de l’ONU, n’est pas une bonne idée et risque d’ouvrir les portes à des critiques acerbes sur son impartialité dans ce conflit de décolonisation qui traine depuis 1975, date de l’occupation illégale des territoires sahraouis par le Maroc.
Le SG de l’ONU, devrait tirer profit des déboires du président du conseil espagnol Pedro Sanchez, grand perdant des dernières élections en Espagne et qui de son côté avait préféré passer ses vacances chez le commandeur des croyants, et grand bénéficiaire du commerce juteux de la pédophilie et du trafic de drogue.

António Guterres, sur les pas des eurodéputés corrompus ?

Passer des vacances au royaume du Haschich, par le premier responsable de l’organisation onusienne, est une attitude dangereuse pour sa carrière, et sa crédibilité, sachant que le pays hôte est déjà impliqué dans des affaires d’espionnage, liées au logiciel Pegasus, dont les victimes ne sont pas que des personnalités internationales opposées au régime du Makhzen, mais aussi des personnalités amies comme le président du Conseil espagnol Pedro Sanchez, et l’ancienne  patronne des services de renseignements espagnols, Paz Esteban, ainsi que le président français Emmanuel Macron.

Outre les affaires d’espionnage, il faut évoquer le scandale de corruption des députés européens appelé « Marocgate » qui n’a d’ailleurs pas encore livré tous ses secrets.