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La fête juive de Hanoukka célébrée à l’Élysée, en présence d’Emmanuel Macron

Par Djeha

Le problème n’est évidemment pas le judaïsme. Chacun a droit à la manifestation qui convient à ce qu’exige son culte, sous réserve, cela va de soi, qu’il ne perturbe pas la paisible neutralité de la vie en république. 

Il y aurait 450 000 adeptes virtuels de ce culte en France !

Il fut un temps où les Juifs de France tenaient absolument à ce qu’une distinction très nette soit établie entre le judaïsme et le sionisme, entre une religion et l’existence d’Israël, entre antisémitisme et antisionisme.

Aujourd’hui, tout a changé. Tout le monde porte la kippa avec ostentation et si l’on s’avise de critiquer Israël en France, on tombe aussitôt sous l’accusation d’antisémitisme.

Chaque année le dîner du CRIF rassemble tout ce qui compte dans ce pays. Le plus grave est le lien entre le CRIF, Israël et la politique étrangère de la France*. Aucune communauté dans le monde ne peut se prévaloir d’un pouvoir que les sionistes français brandissent avec arrogance.
Ce n’est pas de religion, d’ethnies ou de « races » dont il est question, mais de choix politiques.Et pendant ce temps-là on extermine en masse en Palestine. Sans que la République ne soit troublée à Panam où la fête de la lumière achève d’éteindre les Lumières.

 

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