Adlène Meddi nous mène en bateau avec A. Yagoubi
Parmi les rafales d’excréments produites « sous presse » dans les laboratoires coloniaux parisiens, qui ne dépassent jamais les lignes de front d’égouts saturées de leurs déjections puantes qui les éclaboussent, puisqu’ils crachent en l’air pour tout recevoir sur la figure, il nous arrive d’en coincer quelques-unes, toutes chaudes au moyen de notre éventail anti-mouches et aussi du puissant désodorisant de la glorieuse révolution algérienne.