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December 11, 2025

Attaf: la question de la sécurité au Proche-Orient ne peut rester l’otage des caprices de l’entité sioniste

Le ministre des Affaires étrangères et de la Communauté nationale à l’étranger, M. Ahmed Attaf, a affirmé, mercredi soir à New York, qu’il était temps pour le Conseil de sécurité des Nations unies de comprendre que la question de la sécurité au Proche-Orient ne peut rester l’otage des caprices de l’entité sioniste, considérant l’impunité dont elle bénéficie comme un feu vert donné à l’élargissement de l’étendue de ses crimes.

Les populations civiles délibérément ciblées dans les conflits armés

L’opération génocidaire menée depuis un an par les militaristes israéliens à Gaza, tout comme leurs récurrentes attaques terroristes commises contre le Liban, vient confirmer cette sinistre vérité sur le capitalisme décadent : les interventions, expéditions et guerres impérialistes contemporaines ciblent systématiquement les populations civiles. Et pour cause. Car, selon la logique perverse des gouvernants et de l’état-major de l’armée, les massacres de masse terrorisent et démoralisent plus profondément la population que la décimation de militaires ou de combattants. Par conséquent, par ce génocide, ils entraîneraient une plus prompte et sûre reddition. Donc victoire.

Proche-Orient: l’excellente lecture des évènements du président Tebboune

L’implication évidente de l’Algérie dans la mise à nu du complot sioniste contre la Nation arabe, confirme le retour tonitruant de l’Algérie, comme Etat-pivot dans la région et comme acteur incontournable sur la scène internationale via sa présence fort remarquée au sein du Conseil de Sécurité de l’ONU, notamment en ce qui concerne la question palestinienne.

Seule une « Grande guerre » au Moyen-Orient peut mener vers la paix dans la région !

« Nous sommes un peuple parasite : nous n’avons aucune racine dans la terre, aucun sol sous nos pieds. Nous ne sommes pas uniquement des parasites économiques, mais aussi des saprophytes de la culture des autres, de leur poésie, de leur littérature et même de leurs valeurs et de leurs idéaux. Tout courant de leur vie nous entraîne, toute brise soufflant dans leurs régions nous porte. Faut-il alors s’étonner de n’être rien aux yeux des autres peuples ?  (A.D Gordon idéologue sioniste 1856/1922).