Kamel Daoud, ami de Macron et de l’extrême droite, ment comme d’habitude.

Rien à faire, l’image pourtant fabriquée, de Kamel Daoud continue d’être protégée par la presse unanime trop heureuse d’avoir sous sa main la plume d’un arabe qui déteste les autres arabes et aussi le musulmans et les palestiniens. Dans Le Figaro il accuse le « régime » d’Alger de lui faire un procès en France alors que la plaignante une martyre des islamistes qui, seule, a trouvé le courage de porter plainte, Daoud étant accusé d’avoir « volé son passé ».

Le Goncourt et Gallimard rabaissés par le roman «Houris» ? Quand l’art littéraire cède à l’injonction politique. (1ère partie)

«Le prix Goncourt», qui récompense la meilleure œuvre littéraire, a été attribué pour 2024 à Kamel Daoud – algérien dont on a octroyé avec célérité la nationalité française – pour son roman «Houris». ‘Goncourt’ garantit qu’il prime «le meilleur ouvrage d’imagination en prose, paru dans l’année». Au cours des dernières semaines, une intense controverse a éclaté entre la France et l’Algérie, par presse interposée, au sujet de cette attribution. Un prix littéraire ou politico-opportuniste pour celui qui travaille contre son pays?