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Zitout et Rachad, ces démons de la Fitna à l’agonie

Les démons de la Fitna, se sont encore réveillés ce jeudi,à l’occasion de l’enterrement du Moudjahed Lakhdar Bouragaa, décédé mercredi dernier à Alger.
Ainsi, à l’occasion des obsèques du Moudjahed Lakhdar Bouragaa, des énergumènes s’autoproclamant les « gardiens du temple » et «  Porte-parole du peuple » se sont donnés le droit d’interdire à Djilali Sofiane, chef du parti Jil El Djadid (parti d’opposition) d’assister aux obsèques, en violation des valeurs ancestrales et des valeurs de notre peuple qui exigent le silence, le recueillement , le respect des morts, et l’interdiction d’utilisation des lieux de recueillement comme tribunes politiciennes.

https://www.youtube.com/watch?v=MrekwdrJNRA&fbclid=IwAR23FrveB7747zYIDzeLpkPD0Ygus6zwfT9ivqBfHhSExphpXUo7mOz3_wE&app=desktop

Cette situation d’incitation à la Fitna et la division, est l’œuvre, selon certaines indiscrétions, des activistes de Rachad et du FIS dissous, comme le fera savoir leur sinistre propagandiste et fugitif Larbi Zitout qui s’offre le droit de parler au nom du peuple algérien à travers l’expression « Chaab a chassé Djilali Sofiane ».

D’ailleurs, comment tolérer l’hommage rendu à Ait Ahmed par le terroriste Ali Belhadj et refuser celui de Sofiane Djillali à Lakhdar Bouregaâ

Zitout emboîte le pas aux sulfureux caricaturistes Dilem, et Ainouche

   

Le discours véhiculé par les Zitout, Dhina, les «  baltagia » du cimetière de Sidi Yahia d’Alger, n’a rien à envier aux caricatures des Dilem et Ainouche, qui s’identifient au peuple et se donne le droit d’en parler au nom de 45 millions d’algériens.
Sur ce plan, l’auteur et chercheur algérien, Ahmed Bensaada a indiqué dans un article publié le 29 mai 2019, intitulé » Algérie : les caricaturistes et le hirak » que Ali Dilem et Ghilas Ainouche utilisent la la notion de « peuple » comme s’il s’agissait d’un bloc monolithique, sphérique, uniforme et lisse.

Ensuite, ils se donnent la liberté de parler au nom de ce « peuple », comme s’ils en étaient les porte-paroles officiels, mandatés par je ne sais quelle institution fictive. »Lire http://www.ahmedbensaada.com/index.php?option=com_content&view=article&id=496:2019-05-29-21-33-29&catid=46:qprintemps-arabeq&Itemid=119

Lahouari Addi « mandaté » par le peuple?

 

A cette liste de ceux qui parle au nom du peuple, il convient de citer l’auteur et enseignant Lahouari Addi, qui nous rèvèle, en mars 2019, les noms des Mustapha Bouchachi, Zoubida Assoul et Karim Tabbou, pour sauver l’Algérie, au nom de cette perverse doctrine non démocratique de la Constituante, ennemie jurée du verdict des urnes et de la volonté populaire.
Addi Lahouari s’est donné même le droit de calculer le nombre de manifestants, mais avec une fausse mesure. Notre enseignant , champion de la mauvaise rhétorique, ne pouvait faire la différence entre le mètre carré à celui du mètre cube.
A bon entendeur

 

 

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