Les derniers temps ont été durs pour les chefs de file de l’organisation terroriste de Rachad . Caché derrière un écran, le sinistre Larbi Zitout n’arrive plus à se relever de son cauchemar et son compagnon de la trahison Mourad Dhina a subitement disparu des radars, interrompant sa burlesque série des vendredis du » Hirak » qu’il animait chaque jeudi soir, même au temps des restrictions sanitaires du Covid-19, interdisant les regroupements, et dont il est le seul à avoir le secret du nombre des vendredis de son » Hirak ».
Bref, cette bande n’arrive plus à vendre ses diarrhées après le scandale des détournement de l’argent du Paypal, et les tiraillements qui ont secoué cette association de malfaiteurs qui aspirait à régner sur le devenir des algériens au nom du slogan de « Madania Machi Askaria » produit dans les laboratoires des officines hostiles à l’Algérie, dans la foulée de « Qui Tue Qui ». La maturité du Peuple Algérien a mis fin aux dernières illusions des adeptes « d’Al Khilafa » de l’acte II du « printemps arabe » dont les promoteurs avaient tenté vainement de détourner l’authentique et béni Hirak de sa véritable voie d’édifier une Nouvelle Algérie, ouverte au Monde, tournée vers la prospérité, la modernité et le développement socioéconomique, consolidant l’Etat- Ntion, cher aux sacrifices et combats de nos glorieux martyrs et valeureux combattants de la liberté contre le joug colonial et de la liberté contre l’obscurantisme et le terrorisme.
Dans un précédent article, Algérie54 avait déjà alerté l’opinion publique Algérienne, sur les intentions de la bête blessée non encore achevée, et qui tente aujourd’hui d’offrir ses services de trahison aux renseignements occidentaux à l’occasion du conflit ukrainien, en diffusant une campagne propagandiste contre la constante position de neutralité de l’Algérie, et en procédant à des opérations de recrutement de combattants pour rejoindre le camp de Zelensky, en vue de survivre au sale temps des coups de boutoir des forces vives de la Nation Algérienne. Peup des services de sécurité;
Sur ce plan, il est primordial de rappeler, que Larbi Zitout jouit d’une grande expérience de trahison et d’allégeance aux plans de l’OTAN, comme l’indique son implication dans le bombardement sauvage des libyens en 2011 et l’assassinat du leader libyen Mouammar El Gueddafi.
L’opposition virtuelle
Pour bien illustrer l’état actuel qui prévaut au sein de l’organisation terroriste de Rachad, il est important de revenir sur les déclarations du journaliste Abdelkrim Zeghliche, qui avait critiqué vertement, à travers une publication postée sur sa page Facebook, le comportement des «pseudos-militants» qui, tout en se pavanant à l’extérieur du pays, s’érigent en défenseurs des libertés et, surtout, en donneurs de leçons de démocratie. «Aux personnes qui font de l’opposition à partir l’extérieur du pays, en tentant de surfer sur la vague de la colère des Algériens née des différentes crises économique et sociale que nous vivons, à ceux qui nourrissent l’espoir de voir une implosion sociale aux lendemains incertains ma réponse est sans équivoque : venez ici et parlez. Nous n’avons pas besoin de citoyens en colère mais de citoyens conscients de leur colère», a-t-il écrit.
A ce propos, l’opinion de Zeghliche est claire et sans équivoque : «la révolte que veulent nous imposer des crève-la-faim ne peut pas aboutir». Et d’ajouter : «Ils n’ont qu’à venir vivre avec nous ici et assumer, au même titre que le Peuple Algérien, les conséquences de la révolte à laquelle ils appellent».
Cette mise au point coïncide avec la démission physique et non idéologique de Yahia Mekhiouba. du Conseil national du mouvement terroriste de Rachad. Yahia Makhiouba justifie son geste par l’alignement de Larbi Zitout sur Amir Boukhors, allias Amir Dz.
A écouter les versions des uns et des autres, l’origine du conflit n’est autre que le partage des recettes de la rente gagnées en contrepartie de diffusion de certains fake news et autres mensonges dans l’intention de nuire à l’Algérie. Tout cela en plus des rentes estimées à plusieurs milliers d’euros amassés grâce aux réseaux sociaux par le système PayPal. En réalité, la situation actuelle au sein de l’organisation terroriste de Rachad, est liée inéluctablement au désespoir atteint par ses membres, et la diminution des avoirs engrangés de la propagande et des aumônes des officines hostiles à l’Algérie.
L’extradition des déserteurs Guermit Bounouira, Mohamed Abdallah, et Mohamed Benhalima, suivie des aveux des membres de l’organisation terroriste capturés dans les monts de Skikda, révélant des liens avec Larbi Zitout et ses acolytes, ont tué dans l’oeuf les derniers espoirs des trabendistes de « Madania Machi Askaria »
Quand la justice du Sultan d’Ankara sollicite la clairvoyance d’Ahmed Bensaada
Pour bien illustrer les coups reçus par les chefs de file de l’organisation terroriste de Rachad, il est indispensable de revenir sur le procès du mécène turc Osman Kavala, accusé par le mentor de Larbi Zitout, en l’occurrence le Sultan Recep Tayep Erdogan, d’être l’un des instigateurs du putsch manqué du 16 juillet 2016.
Le procureur du Tribunal d’Istanbul dans le procès des violentes manifestations du Parc Gezi en Turquie s’est référé au livre « Arabesque Américaine » du chercheur, universitaire et auteur algérien Ahmed Bensaada. Le procureur du Tribunal Istanbul a élaboré un rapport de chefs d’accusation de 700 pages, faisant le lien entre les commanditaires du putsch et les officines de Regime-change, ou l’exportation de la démocratie. Il ne manqua pas de mentionner les rencontres des lieutenants de Fethullah Gülen, établi aux USA avec les responsables du mouvement Otpor.
Que diront les Dhina et Zitout?
Les Mourad Dhina et Larbi Zitout auraient avalé leurs langues en apprenant que la justice de leur maître d’Ankara, le Sultan Erdogan, avait sollicité le livre d’Ahmed Bensaada, pour élucider le putsch manqué de 2016, sachant que les deux membres de l’organisation terroriste de Rachad, avaient fustigé l’auteur algérien le qualifiant de complotiste, lors de la sortie de son livre « Qui sont les auteurs autoproclamés du Hirak Algérien?» venu à point nommé pour couper la route à ceux qui avaient tenté de détourner le Hirak béni de sa trajectoire algérienne au profit d’agendas étrangers.
Les sinistres Dhina et Zitout ne s’arrêtaient pas là puisqu’ils feront appel à un panel d’auteurs pour répondre au livre d’Ahmed Bensaada, dont l’ancien président tunisien le Tartour Moncef Al Marzouki. Le livre financé et sponsorisé par le mouvement terroriste de Rachad, et surmédiatisé par ses relais médiatiques propagandistes, s’avère un coup d’épée dans l’eau, sur le plan d’argumentation fiable pouvant démanteler les arguments fiables et vérifiables contenus dans le livre « Qui sont les auteurs autoproclamés du Hirak Algérien? ». » La diarrhée » préfacée par le Tartour et proposée par Dhina et Zitout, ne pouvait venir à bout d’un travail de recherche scientifique élaboré par un patriote algérien.
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