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ENQUÊTE, TRIBUNE

Tunisie: Des mercenaires de «l’armée de la société civile» (1ere partie)

Il ne faut pas croire que la mercenaire “merdiatique”, Anne-Sophie Merci, fille du Général d'armée Philippe Mercier (ancien chef du cabinet militaire du ministre de l’attaque français -1994 à 1995-, ancien chef d’état-major de l’armée de terre-1996 à 1999-, et général à l’OTAN-SACT-) va lâcher le morceau "indigène" qu'elle tient férocement dans ses crocs coloniaux, puisque selon la classification proposée par Jupiter, le roi de France, elle ferait partie de la classe des carnivores. Elle a récidivé dans le palmipède de la mare vivipare (numéro 5422) du 9 octobre 2024 (et pas du 7 octobre), avec un billet troué de civilisatrice du peuple tunisien, qui serait donc dans une prison pour herbivores, sans système militaire, où son vaillant Général de père aurait pu couper des rubans, et pas les têtes des « ratons », comme en Algérie.

Par Abdelkader H

Il ne faut pas croire que la mercenaire “merdiatique”, Anne-Sophie Merci, fille du Général d’armée Philippe Mercier (ancien chef du cabinet militaire du ministre de l’attaque français -1994 à 1995-, ancien chef d’état-major de l’armée de terre-1996 à 1999-, et général à l’OTAN-SACT-) va lâcher le morceau « indigène » qu’elle tient férocement dans ses crocs coloniaux, puisque selon la classification proposée par Jupiter, le roi de France, elle ferait partie de la classe des carnivores. Elle a récidivé dans le palmipède de la mare vivipare (numéro 5422) du 9 octobre 2024 (et pas du 7 octobre), avec un billet troué de civilisatrice du peuple tunisien, qui serait donc dans une prison pour herbivores, sans système militaire, où son vaillant Général de père aurait pu couper des rubans, et pas les têtes des « ratons », comme en Algérie.

Avec son billet vers la Tunisie- ennemie, pays bien tenu, qu’elle marque de son empreinte (A.-S.M) et non avec son blason parental, elle décrit ce pays, comme étant moche, crasseux, sale, pouilleux, négligé, pollué, infréquentable et qui ressemblerait presque au camp de concentration de Gaza, où le génocide du peuple palestinien est toujours en cours grâce à son système colonial. Elle n’est pas unique, cette cynique, puisque toute la « presse » hexagonale est au garde-à-vous devant Olivier Rafowicz, le porte-parole de l’armée des généraux génocidaires de Tel-Aviv, et est rassemblée dans cette opération de guerre médiatique contre le peuple tunisien resté « indigène ». Contre la Tunisie, même l’anticapitaliste « Contre Attaque » nantais est de la partie, en convoquant comme témoin de moralité démocratique Amine Snoussi , un salarié littéraire du grand capital « Jeune Afrique », et des fakes-news du monarque du haschich, dirigé par Amir Ben Yahmed et François Soudan. C’est à retourner le cerveau, puisque la « Contre Attaque » contre la Tunisie par le flan gauche a mobilisé beaucoup d’énergie, avec pas moins de 3 missiles « civilisateurs du peuple d’en bas » ! 

On sent le retour de MAM (Michèle Alliot-Marie, la « sinistre » des Affaires Étrangères) pour faire bénéficier les tunisiens du savoir-faire de la Police-milice française, maintenant qu’elle a fait ses preuves contre les Gilets Jaunes, les retraités, les étudiants, les salariés, les lycéens, …enfin contre le peuple qui rame à contre-courant du tsunami fasciste, qui déferle sur le pays des lumières volées aux colonies.

Ce n’est pas A.-S. M, la « fifille » du Général d’armée de la « Contre-Attaque » dont les bidasses ont été humiliés sur le territoire national du domaine de l’Eléona à Jérusalem, par l’armée la plus morale du monde, puisque c’est le Colonel Olivier Rafowicz qui donne les ordres à son employeur « merdiatique » (Arte, Nouvel Economiste, l’Événement du jeudi, Le Parisien, I-Télé, Charlie Hebdo, Canal +, RTL, Direct 8, Les Inrockuptibles, Le Monde, Le Canard enchaîné, …etc.), qui nous intéresse dans cette modeste contribution, mais une partie de la toile des bataillons de l’armée de la société civile, tissée autour de leur « Tunisie ennemie » par le système resté colonial jusqu’à nos jours.

En effet, la Tunisie (comme beaucoup de pays du Sud, notamment l’Égypte, le Sénégal, et le Soudan) est un pays infesté et même gangrené par une véritable armée d’experts de guerres de quatrième génération, fabriquée dans les laboratoires coloniaux parisiens, de l’Union Européenne et de l’OTAN (avec en toile de fond la main des généraux du régime génocidaire de Tel-Aviv) agissant avec des slogans à couper le souffle : « Paix, vivre ensemble, Droits de l’Homme, liberté d’expression, démocratie, » ….et d’autres formules d’accroche construites pour les nigauds des écrans noirs de l’Histoire. 

Dans l’excellent travail de fourmi de Bensaada Leaks, intitulé : « Hirak, la filière tunisienne », on découvre pas mal de câbles tendus par les colons, avec une véritable armée indigène de soldats de la société civile, allant de Merlin Merzouki, le Tartour -Maboul de Tunis, jusqu’à Messaoud Romdhani, le dompteur de « ratons » d’EuroMed-Droits d’André Azoulay, la main visible du royaume d’Israël, de père en FIS, en passant par Samir Bouaziz (la face cachée du RSF de Robert Ménard sur France 24, et chez les « Islamistes » d’Elmagharabia), la fleur (Zouhour) Ouamara, de l’organisation de printanisation britannique « article 19 » et Slim Amamou, l’agent de l’oncle SAM.

Le Tunisien Messaoud Romdhani, est un vrai sportif en politique d’abattage de son propre peuple et des peuples en « trop ». A lui tout seul, il constitue une véritable belle toile coloniale : « il est en effet membre fondateur du Forum tunisien des droits économiques et sociaux (FTDES) – et il vice-préside la Ligue tunisienne des Droits de l’Homme (LTDH) blanc à coloniser la Tunisie. Il dirige aussi les publications civilisatrices des Tunisiens au CRLDHT (Comité pour le respect des libertés et des droits de l’homme en Tunisie) – et loge impérialement chez le roi sioniste Azoulay, de la monarchie du hachisch et du bakchich, en tant que membre du Comité exécutif d’EuroMed Droits.

Cette pépinière de « ratons » révolutionnaires est excitée, en compagnie des multinationales des « Droits de l’Homme » sélectifs (FIDH, Amnesty International, RSF,CIVICUS, FORSEM, CIHRS , Cartooning for Peace, la centrale syndicale américaine AFL-CIO (Solidarity Center) qui sont connues, le National Democratic Institute (NDI), l’International Republican Institute (IRI), et le Center for International Private Enterprise (CIPE), …etc) par les bailleurs de fonds : NED (National Endowment for Democracy), Freedom House, l’USAID (U.S. Agency for International Development), OSF (Open Society) de G. Soros, et du fils Alexander qui préside la Fondation familiale, …etc.

Ici, il n y a pas d’accidentés de la vie de « Starkozy », celui qui a été condamné par « l’injustice » à porter un bracelet « Rolex » au pied.

Parlons un peu de Saïda Agrebi (ancienne présidente de l’Organisation Tunisienne des Mères, et actuelle de l’ONG basée à Paris OISAT-WASAT, au parcours en dents de scie politique, avec 1 million et 220 millions de dinars, qui se sont évaporés sous son propre nez du compte bloqué de l’OTM à la BNA). Cette femme, experte en couscous du cœur (et pas des intestins tunisiens) a été sacralisée en marge de la Conférence internationale « COP 27 », sur les changements climatiques, dans l’assiette politique de Charm el-Cheikh (novembre 2022) en Égypte, par l’UNECA (United Nations Economic Commission For Africa) et le FEMNET (Réseau de développement et de communication des femmes africaines), lors d’une cérémonie officielle des puissants de notre monde. Si l’UNECA est, à priori, une coquille vide de sens, qui perpétue la domination du continent africain par le Nord Global, FEMNET (avec des correspondants sur l’ensemble du continent africain)  qui présente sur leur site le Sahara Occidental, comme partie intégrante du royaume du Maroc) est un véritable carrefour de pas moins de 35 fondations néocoloniales, dont la Fondation Ford (CIA), Open Society de Georges Soros de père en fils, la fondation de Bill et Mellinda Gates, et naturellement l’UE, qui bénéficie du savoir faire de l’USAID (US Agency for International Développement).

Un petit crochet par Mezri Haddad, lui aussi un habitué du « Système », qui a célébré, le 29 mai 2022, la fête des mères avec Saïda Agrebi (au Club Athlétique Bizertin), autour d’un contingent de femmes au couscous, et qui n’a rien vu de ces opérations pourtant printanières, qu’il aurait dénoncées. Il est tellement bourré de titres et de diplômes, qu’il ratisse large, après le soutien qu’il a apporté à Merlin Merzouki : il répond  favorablement aux invitations d’Alain Juppé, de Nicolas Dupont-Aignan, et a donné d’excellentes idées sur les banlieues à Marine Le Pen, lors de sa convention présidentielle du 15 novembre 2016. Pour Mezri Haddad, qui a tout compris sur l’UPM (Union Pour la Méditerranée) avec un sens clairvoyant de mise à disposition des pays du Sud de ce bassin, au service du régime des généraux génocidaires de Tel-Aviv, puisqu’il devrait être conçu comme un projet stratégique et un « choc » civilisationnel !

L’organisation FEMNET est représentée (pour l’Afrique du Nord) en Tunisie, par Amel Samoud Khamari, qui préside l’Association tunisienne de « la gouvernance et de l’égalité des chances entre les femmes et les hommes » en position de décision (ATGEC), une ancienne fonctionnaire (25 ans) au Ministère du développement, de l’investissement et de la coopération internationale, pas pour le Couscous.

Relevons quand même que La directrice exécutive du « Réseau pour le développement et la communication des femmes africaines » de FEMNET, Memory zonde-Kachambwa, est en même temps la Présidente du Groupe directeur de SheDecides, un puissant lobby mondialiste des gouvernements occidentaux (Union Européenne, ONG, médias, artistes, parlementaires, donateurs,…etc.), initié en 2017 par le Ministre néerlandais du commerce extérieur, et de la coopération au développement, qui se consacre à l’uniformisation des sociétés des pays à travers l’éducation sexuelle des femmes, à l’échelle internationale. Cette organisation politique, qui se déclare indépendante, s’attaque aux familles, aux femmes et à l’éducation des enfants, pour façonner un monde détourné de la lutte contre le néolibéralisme sauvage, avec le thème de « l’autonomie physique, la santé et les droits en matière de sexualité et de procréation pour tous ». « On va s’aimer les uns dans les autres » quoi !!

Ces deux organisations (FEMNET et SheDecides), de l’armée de la société civile, trouvent leurs promotions médiatiques notamment dans VOA (Voice Of America- basé à Washington), le plus grand organe de propagande américain de guerre, diffusé dans près de 50 langues à un audit (plate-formes numériques, télévisions et radios, avec 3 500 stations affiliées) hebdomadaire de plus de 354 millions de personnes dans le monde ! L’organisme de tutelle de « VOA », dont le budget en 2024 s’élève à 267,5 millions de dollars, est l’International Broadcasting Bureau (IBB), lui-même dépendant directement du Broadcasting Board of Governors (BBG). Le directeur de l’IBB est nommé par le Président des Etats-Unis, et ce n’est pas un militaire : c’est donc la société totalement civile qui fournit les bombes et le matériel militaire nécessaire pour exterminer le peuple palestinien.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Voice_of_America

En 2020, le Sénat américain a désigné à la tête de cet organe (proche de l’administration Trump) de matraquage public par la désinformation, Michael Pack, un proche de Steve Bannon, au CV de guerre (militaire, financier, politique, médiatique, …etc.) très fortuné, qui a été le stratège et chef exécutif d’extrême droite de la campagne électorale de Donald Trump, en 2016 !

https://www.voanews.com/a/dutch-government-starts-crowdfunding-effort-womens-rights/3698678.html

En plus  du Tunisien « Charles El Goumi », les néolibéraux coloniaux, qui ont identifié bien avant Jupiter (le roi de la casse à partir de l’Élysée) les peuples herbivores à dévorer tout cru, ont bâti Ghazi Ben Ahmed, un jongleur économique polyvalent. Ghazi Ben Ahmed est titulaire de nombreux titres pompeux, à faire rougir tous les révolutionnaires, et bien au-delà du Jasmin pourri qu’il vend aux cannibales économiques des peuples innocents, avec sa multinationale MDI (Mediterranean Development Initiative) des chaos « arabes ». Derrière cette boîte de Pandore, installée à Tunis et à Bruxelles, il y a non seulement un énorme bataillon militaire déguisé en société civile, mais aussi un conseil de scientifiques, « ambassadeurs » en politique coloniale de l’Otan, outillé du savoir de pillage des biens publics.

Dans ces valises de guerre, on retrouve le Canadien Slim Othmani, un businessman tunisien (mais algérien pour les affaires liquides qui coulent de source parentale ( ?) à Rouiba, banlieue d’Alger). Titulaire du titre de Chevalier de « la Légion  d’Horreur », qu’il a obtenu par hasard et à l’arraché, en 2018, à la sueur de son front d’attaque, il est placé en « poule position » dans le parti -UCP- révolutionnaire de Zoubida Assoul, l’avocate des autoproclamés « leaders du Hirak » en Algérie.

Diffusant son venin sur les peuples d’Afrique du Nord, à partir du journal des complots au hachisch (Jeune Afrique), où il a élu domicile, Ghazi Ben Ahmed pratique à la perfection la politique du dépouillement et du pillage du peuple tunisien. En octobre 2023, c’est avec la libérale Salima Yenbou, de Macron, la députée européenne (aux 0,87% au premier tour des élections législatives de 2017) experte dans la course en sauts politiques (faisant des sauts du Parti Socialiste à Alliance écologiste indépendante -AEI- jusqu’à Renaissance de O’Macron, en passant par « Cap écologie » et les centristes de Renew Europe), qu’il plaidé pour que l’aide européenne à la Tunisie (rejetée par le Président de la République et non de la monarchie de la pédophilie) aille dans les poches du secteur privé, « innovant, efficace et compétitif » ! 

Un an après (le 3 octobre 2024), ce révisioniste-révolutionnaire atlantiste revient à la charge, toujours dans le même cambouis « Jeune Afrique » colonial, en s’attaquant frontalement à la liberté des peuples tunisien et algérien. Peiné, sans doute de ne pas toucher les dividendes promises, ce professeur « Nimbus-indigène » produit un bulletin de haine coloniale et de chantage, intitulé : « Refuser l’aide européenne, c’est soumettre la Tunisie à des puissances régionales qui lui feront payer leur soutien ». 

Il ne faut pas croire que ce personnage,  comme ses éructations puantes à effet de serre, n’est pas issu du processus diabolique de « la stratégie des chaos », réservée aux pays pauvres, puisqu’il a été installé en décembre 2012 à la tête du « Fonds pour la Démocratie et le Développement », initié par German Marshall Fund (GMF), une puissante organisation transatlantique, financée généreusement par les gouvernements de l’Otan, de l’Union Européenne (Direction générale de la politique de voisinage et d’élargissement), des fondations des milliardaires mondialistes, des multinationales et des cabinets « Conseils » du pillage mondial, comme McKinsey Global Institute… 

German Marshall Fund (GMF) est dirigé depuis 2012 par Alexandra de Hoop Scheffer, une étoile filante Franco-Néerlandaise d’une quarantaine d’années, dont le CV est un vrai roman politique et financier des multinationales. Alors que la journée ne dure que 24h, on se demande où elle trouve le temps pour être présente dans les dizaines de postes de conseils géostratégiques à la GMF, aux gouvernements et multinationales, au gouvernement français, au monde universitaire et aux organisations internationales, au Comité stratégique du Trésor français, au Conseil consultatif du chef d’état-major français de la Défense, au Conseil consultatif de la Fondation pour la recherche stratégique (FRS) et au Comité de rédaction de la revue Washington Quartely, de professeur associé à Sciences Po Paris …etc. Elle a même été conseillère spéciale auprès du personnel de planification des politiques du Ministère français des affaires étrangères (2009-2011), du commandement suprême des forces armées de l’OTAN en Europe (2010-2013) en tant que membre du Groupe consultatif de la prochaine génération, du Ministère français de la Défense (2006-2009) et du Département des opérations de maintien de la paix des Nations Unies (2006). 

Si elle est l’une des deux progénitures de Jakob Gijsbert de Hoop Scheffer (dit « Jaap de Hoop Scheffer »), l’ancien catholique ponte du pouvoir et ancien secrétaire général de l’Otan (2004), alors la reproduction de classe est préservée démocratiquement. 

Pour ne pas perdre le fil conducteur, revenant à notre mercenaire tunisien (au CV très très riche aussi), qui a été salarié de la Commission Européenne pendant près de 10 ans, où il s’est occupé (entre autre) du projet de « construction institutionnelle dans les pays méditerranéens », rappelant le projet de l’UPM (Union Pour la Méditerranée), fabriqué par les laboratoires coloniaux parisiens, au profit de la domination du régime des généraux génocidaires de Tel-Aviv. 

Il a beaucoup de Fikra (idées en commun) avec David Pollock du « Washington Institute for Near East Policy », conseiller principal pour le Broader Middle East au Département d’État US, qui a inventé « The ‘Arab Street’ » L’opinion publique dans le monde arabe, dans le cadre du projet du « Grand-Moyen-Orient » des Faucons de Washington. Ce personnage d’abattage de la Tunisie, que l’on retrouve aussi dans « Johns Hopkins SAIS », dans la banque Africaine de développement ((BAfD), dans le Conseil à l’Agence des Nations Unies pour le commerce et le développement (CNUCED), avec les patrons des nouvelles démocraties (LEND)-les anciennes étant pourries-, au Club de Madrid, … a mis en place, conjointement avec Dar El Dhekra (Maison duégo, la première Association juive tunisienne), un projet visant à sauvegarder le patrimoine juif tunisien en promouvant ses produits sur le marché américain, alors que les Musulmans, vivant en continu sous des tempêtes islamophobes sionistes, prient dans les caves en France, et dans toute l’Europe. C’est vrai, les Musulmans n’ont pas de patrimoine ! Il est intelligent,  Ghazi Ben Ahmed, cet automobiliste prévoyant quant aux accidents de la vie, dont le véhicule est équipé d’AIPAC (comme un air-bag), pour amortir les chocs qu’il provoque, avec le FRIC (ou le CRIF ?) des puissants, afin de mettre à disposition des généraux moraux les peuples innocents méditerranéens à génocider. 

Si son « conte » n’est pas bon, alors il a toujours la possibilité de former en France les jeunes Maghrébins (Tunisiens et Algériens, mais pas les Marocains, ces sujets déjà bien pris en main par André Azoulay) paumés, avec la Fédération des Tunisiens pour une Citoyenneté des deux Rives (FTCR) qui a organisé (juste là) le 16 novembre 2024 (aux AMARRES- 24 quai d’Austerlitz 75013 Paris) des ateliers à destination des jeunesses et diasporas « indigènes ». Précisons quand même que cette organisation –FTCR- collabore avec le GRDR (Groupe de recherche et de réalisations pour le développement rural), qui est une véritable toile internationale d’O(N)G françaises, avec un budget (2023) colossal de 7,8 millions d’euros (AFD 37 %, fonds européens et internationaux 29 %, fonds privés 18 %, État français  13 %, collectivités territoriales 3%), notamment au sein du Réseau « EuroMed France ». 

Avec Ghazi Ben Ahmed, la FTCR invitera  peut-être le Général Lecointre, ancien chef d’Etat-Major, qui avait déclaré que «la recolonisation militaire de l’Afrique par la France et l’Europe dans les dix prochaines années», qui pourra être le maître de la baguette chez les « colonisés ».

Au pays où les jeunes étudiants ont été chassés de leurs chambres d’herbegement, durant les jeux olympiques totalement politiques et font des queues interminables pour béqueter l’aide alimentaire, lorsqu’ils ont échappé aux balles de LBD de la milice politique, la Fédération des Tunisiens de France compte donner des enseignements de citoyenneté aux pigeons tunisiens et algériens piégés, y compris par leur « live Stream ». Dans leur bande-annonce écrite, tout à fait attractive, ils précisent : «  Ce forum est organisé dans le cadre du programme « Jeunesse et Pouvoir d’Agir en Algérie et en Tunisie », financé par l’AFD (Agence Française de Développement), … ». Ce n’est pas le mot d’ordre de Sarah Knafo, la fasciste de « Reconquête » d’Eric Zemmour,  concernant l’aide au développement  octroyée à l’Algérie ? Ce sont de vraies lumières, à la FTCR! 

A l’occasion de cette formation des jeunes Tunisiens et Algériens aux « techniques d’agir » au Sud de la Méditerranée, dans le cadre des guerres façonnées contre leurs propres familles, la FTCR pourra associer  aussi   leur pote Adel Ltifi, cette « lumière sombre » qui n’a rien à proposer à la France en déconfiture, là où il officie « universitairement » ; ce sera  naturellement en parfaite harmonie avec la liberté d’expression confisquée, et les Droits de l’Homme totalement respectés pour les puissants qui éborgnent le peuple et braquent leurs retraites. Il est puissant, Adel Ltifi, puisqu’en 2022 (La presse.tn) il proposait déjà le chaos dans son pays, à travers un boycott qui serait « le progrès -son parti pris politique- Takadoum» et le devoir pour sauver l’État tunisien !!Il aurait pu d’abord brûler sa maison, pour donner l’exemple, et cesser de nous interroger sur le devenir de son pays- ennemi, avec les printaniers du  Comité pour le Respect des Libertés et des Droits de l’Homme en Tunisie (8 septembre 2022), sous l’œil téléphonique  de Cherbib Mouhieddine, le révolutionnaire au « jasmin pourri » parisien qui n’a rien vu des foudres préparées dans le projet « opérations ronces ». Avec moins de réussite quand même, il rappelle Nacer Kettane, le « beurgeois » de la radio FM du « Beur », mais surtout de l’argent du « Beur ». 

Cette stratégie de la FTCR (organisation de gauche retournée) n’est pas isolée, puisqu’elle n’est que l’une des copies conformes de l’infiltration des sociétés récalcitrantes au néolibéralisme et à l’apartheid israélien, à l’instar de celle déjà pratiquée le 28 septembre 2023, avec le Réseau EuroMed et le « FORIM » (Forum des Organisations de Solidarité Internationale issues des Migrations), une puissante plate-forme de 1000 associations intervenant en Afrique Subsaharienne, au Maghreb, en Asie du Sud Est, aux Caraïbes et dans l’Océan Indien.

https://www.grdr.org/Le-rapport-d-activite-2023-du-Grdr-est-disponible

Sur le territoire national tunisien, il est recensé pas moins de 25 000 associations de soldats de la « société civile » mobilisables par l’Otan et les puissantes organisations néocoloniales du grand Capital mondialisé. L’objectif  ici, n’est pas d’énumérer ces dizaines de milliers de casernes militaires, dont certaines (1838) sont inventoriées par les « civils » du commandement de « Jamaity », un rassemblement soutenu par l’U.E, EUROMED Droits et le Fond Européen pour la Démocratie (FEDEM) de l’Europe (European Endowment For Democracy) où le fascisme se généralise, mais de donner un aperçu exemplaire du maillage élaboré par les militaires de l’Otan et d’Israël, pour faire écrouler le peuple de Tunisie, les pays limitrophes et les pays africains. 

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