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December 13, 2025

Le colonialisme français en Algérie : la destruction de la propriété collective

Comment le colonialisme français a brisé la propriété collective en Algérie et, corrélativement, a introduit par la force et la violence la propriété privée en Algérie colonisée. Pour ceux qui croient en l’éternité du capitalisme, en sa naturalité, à plus forte raison en l’existence naturelle de la propriété privée, l’exemple de l’Algérie vient démentir leur puérile croyance, leur mystification idéologique.

La France ou le syndrome de l’échec du prédateur en Algérie ( 1ère partie )

De l’analyse sémantique et sémiologique du discours de Macron, tenu devant un parterre de diplomates le 6 janvier 2024, il ressort que le président français a employé un certain verbiage contenant des agressions verbales à l’égard des pays africains sans les citer nommément, à l’exception de l’Algérie que Monsieur déclare être déshonorée pour avoir refusé d’élargir leur protégé et « Honorable Correspondant », nommé Sansal. 

L’Afrique a choisi l’Algérie dévouée à sa cause

L’ Algérie de l’ère nouvelle prospère bien ancrée dans son Africanité, où son hospitalité profondément africaine n’ a d’égal que son enracinement historique dans des civilisations plusieurs fois millénaires, terre d’accueil et d’inspiration aux nobles idéaux de notre continent vient d’être élu au poste de Vice Président de l’Union Africaine.

Crise létale du capitalisme : lutte finale pour son abolition

Il n’y a pas besoin d’être expert en olfaction ou en acoustique pour sentir les miasmes et entendre les râles du monde capitaliste en pleine agonie. Depuis plusieurs décennies, le capitalisme ne survit que par le recours à l’endettement. Il prolonge son moribond système économique par le soutien du crédit. Mais le crédit soutient le capitalisme comme la corde soutient le pendu.

Kamel Daoud, contre-enquête

Qu’advient-il lorsque le ressentiment d’un écrivain envers l’Algérie indépendante se confond avec celui de la France, qui attend, depuis le traumatisme national de 1962, une revanche sur son ancienne colonie ? C’est simple : il obtient le prix Goncourt ! Et devient un atout de choix pour l’extrême droite transatlantique, obsédée par la peur de l’islam, dans son combat métapolitique.