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December 17, 2025

La recette du succès de certains auteurs «bien de chez nous»

Pour mieux éclairer l’opinion publique algérienne, en particulier nos fidèles lectrices et lecteurs, Algérie54 a jugé utile de republier des articles datant depuis 2010, sur les agissements et attitudes de certains pseudo- intellectuels du monde de lettres, des médias et des arts, originaires de notre pays et qui servent aussi les plans néocoloniaux.

Sansal réveille le réflexe de solidarité de la caste bourgeoise et sioniste française

Depuis toujours les sionistes, en particulier les colonialistes de la Palestine, ces autoproclamés élus de Dieu, cultivent «l’intouchabilité politico-religieuse». D’office, ils se sont attribué l’immunité judiciaire. Par élection biblique, ils se considèrent au-dessus de l’humanité. Par arrogance politico-religieuse, ils s’estiment être au-dessus des lois nationales et du droit international.

2024 : la fin de l’immonde Boualem Sansal

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La vie intellectuelle de l’immonde Boualem Sansal finit comme elle a commencé : de façon fulgurante et foudroyante. Cependant, cette déjection de la littérature de commande termine sa carrière de mercenaire romanesque dans l’abjection.

«Chômeurs et étudiants tous autoentrepreneurs» : tel est le credo des élites libérales algériennes

Au début des années 1970, sous l’ère Boumediene, dans un contexte international marqué par le triomphe du gauchisme stalinien, l’Algérie ne jurait que par la révolution agraire. En 1971, dans la perspective de lutte contre le sous-emploi et d’aménagement de l’espace rural en vue d’intensifier la production agricole, l’Etat algérien décrète l’instauration d’une réforme agraire basée sur la redistribution des terres aux paysans.

Un pour tous, tous pourris

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L’indignation sélective dont s’éructe toute la France politico-médiatique, sur la présumée arrestation de B. Sansal à Alger, l’agent « indigène » du Mossad, est révélatrice non seulement du désarroi du régime néo-nazifiant de Paris, mais aussi de la décomposition de cette colonie israélienne qui n’a plus aucune perspective à proposer au peuple laminé par la répression, en dehors d’aller supporter l’équipe de football des généraux génocidaires du régime de Tel-Aviv.

Affaire Sansal : pourquoi le microcosme germanopratin est monté au créneau

En France, l’arrestation de Boualem Sansal déchaîne une virulente campagne d’animosité contre l’Algérie. Un déversement de haine teintée de racisme. Au-delà d’être ignoble, ce déchaînement d’hostilité contre l’Algérie est infondé. Tous les médias français crient au scandale. «Un écrivain pris pour cible par un régime où l’arbitraire le dispute à la tyrannie», voilà, en résumé, les gros titres des médias français. A lire les journaux français, Boualem Sansal aurait été arrêté pour ses œuvres littéraires dérangeantes, ses ouvrages critiques du pouvoir algérien.

La femme de Daoud, le BHL de Macron: une émigrée chanceuse.

Dans un pays guidé par le grand panseur Retailleau – l’homme qui étrille, l’éradicateur ventre à choux- nous savons que tout cheveu trop frisé est maintenant coupé en quatre. Le parcours exemplaire d’une jeune émigrée, assez forte pour échapper aux pièges tendus par un pays dont le patron s’appelle Bruno, est donc exemplaire. Nous avons découvert cette vertu vivante capable d’un tel courage, de grimper son Everest à mains nues. Elle nous vient d’Oran, heureusement sans avoir eu à traverser la Méditerranée à la nage. Son nom est Aïcha Dahdouh-Daoud. Comme un bonheur ne voyage jamais seul, son mari, Kamel, vient d’obtenir le Prix Goncourt. Pour les égarés, précisons Prix de « littérature ». Et l’égérie du lauréat de chez Drouant vient d’obtenir en France le statut de « réfugiée politique ». Elle le mérite bien. Son dossier a été bouclé le temps de quelques claquements de doigt. Déjà, par une grâce tombée du ciel de Saint Honoré, patron de ceux qui roulent dans la farine, Kamel a obtenu la nationalité française le 28 janvier 2020. C’est ce qui est imprimé dans le Journal Officiel de la République. Le saint chrême qui l’a fait fils de gaulois coulant d’une fiole conservée dans le tabernacle de l’Elysée, la naturalisation s’annonçait peu difficile. Nous avions le « fait du prince », la République l’a transformé en « fait du Président ».

N’en déplaise à Kamel Daoud : la femme algérienne est libre et épanouie

Lors d’une interview accordée récemment à un quotidien régional français, à la question du journaliste : «Comment vous êtes devenu féministe ?» Kamel Daoud a répondu : «Parce qu’à un moment, au regard de ma propre mère, je me suis demandé pourquoi elle n’a pas eu droit à une vie et à de la liberté.»