Cette nouvelle situation exige, selon lui, «un plan de décollage économique poste coronavirus». L’Algérie doit suivre l’exemple des «pays qui travaillent aujourd’hui sur deux vitesses», recommande-t-il. «Une vitesse conjoncturelle pour couvrir les coûts de la pandémie  et en même temps l’ouverture des grands chantiers structurels pour passer aux nouveaux modèles de financement de l’économie», explique l’invité de la chaine 3.