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François fait des « bulles » et des boulettes.

Par Djeha
Le Saint Père a pris son temps pour passer au début du conflit, de « la Russie a été poussée par les menaces de l’OTAN à intervenir en Ukraine » à « la cruauté des envahisseurs. » des mois plus tard.
Une longue et mûre réflexion et de discrètes pressions pour faire du jus de pape destiné à de faire accepter les conséquences de plus en plus amères de la politique américaine en Europe et de lutter contre la baisse de la popularité en Occident de la cause du bavard qui ne cesse de s’égosiller à Kiev.
Pour faire bonne mesure, il verse dans la xénophobie en résurgence un peu partout en Occident, en pointant du doigt les « barbares » « Tchétchènes et Bouriates ».

C’est facile à court terme, mais très coûteux à long terme. La Maison de Pierre en perdition fait un très mauvais calcul.

Comme d’habitude, depuis la fin de Vatican II, un concile destiné à réconcilier l’Eglise avec ses ouailles et son époque.
C’est raté. J.-Paul II est passé par là.

 

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