Invité par Radio Sud, l’ancien ambassadeur de France en Algérie, Xavier Driencourt récidive en matière de mépris et haine à l’égard de l’Algérie, en reconnaissant implicitement qu’il rejoint l’extrême droite et française en revendiquant l’annulation des accords de décembre 1968.
Xavier Driencourt affirme rejoindre l’approche et l’attitude des Bardella, Zemmour, Edouard Philippe, Eric Ciotti,et Nicolas Sarkozy, tous favorable à un rapprochement avec le régime du Makhzen, en ironisant sur les déclarations faites par le président de la République Abdelmadjid Tebboune au média français Le Figaro, dans lesquelles il évoquait les 132 ans de colonisation pour répondre aux appels de l’annulation des accords de 1968.
Xavier Driencourt, qui n’avait pas apprécié les déclarations faites par le président Tebboune lors de sa visite en Russie, redouble les propos haineux à l’égard du pays, et concentre tous ses sorties à dénigrer l’Algérie. Au passage, L’ancien ambassadeur français à Alger, a reconnu que la diplomatie française a échoué, en avançant que les entreprises françaises ont été écartées au profit des entreprises chinoises, turques, sud-coréennes, allemandes, italiennes et espagnoles. Le choix de l’anglais comme la première langue étrangère, en écartant le français, semble étouffer l’ancien diplomate qui évoque son échec à ouvrir des centres culturels dans les villes du sud algérien comme Bechar et Adrar. Un échec qui résume toute la haine de ce juppéiste, agent de la DGSE, qui n’a pas apprécié la sortie du ministère algérien des affaires étrangères, réagissant à l’ignoble assassinat du jeune Nehal en juin dernier.