La deuxième vice-présidente du gouvernement espagnol Yolanda Diaz, est devenue la cible de l’appareil propagandiste du Makhzen, après avoir qualifié la monarchie du Commandeur des croyants, de dictature.
Une définition taboue pour certains hommes politiques espagnols, une évidence publique pour d’autres. Ses déclarations avaient ouvert la voie au débat sur la nature autocratique du régime qui contrôle le Maroc d’une main de fer .
Yolanda Diaz, se démarque du gouvernement socialiste dirigé par Pedro Sanchez, de plus en plus affaibli sur le plan interne, dans le sillage de son alignement sur la position de l’occupant marocain dans le dossier du Sahara Occidental, et ses conséquences socioéconomiques sur l’Espagne.
Par ailleurs, il faut rappeler; que Yolanda Diaz, candidate à la présidence du gouvernement espagnol et actuelle ministre du Travail, avait réitéré son engagement à soutenir la juste lutte du peuple sahraoui pour l’autodétermination et l’indépendance.
