Contrôles au faciès : face infâme de la France néofasciste (1)

Plus que partout en Europe, en France il ne fait pas bon être basané ou noir. Manque de pot, à l’homme et la femme à l’épiderme basanée ou noire on lui fait visuellement la peau. À chaque coin de rue, on le fusille du regard xénophobe. On le toise. Et la police gauloise, instinctivement discourtoise, qu’il croise lui cherche souvent des noises.