La guerre ubuesque des cartes menée par l’occupant marocain des territoires du Sahara Occidental a montré ses limites, compte tenu du flux de Fakenews et désinformations diffusées par ses instruments propagandistes, comparé à la détermination des sahraouis àaccéder à l’indépendance et à l’adaptation de la technologie à la réalité du terrain.

 Google , l’un des géants mondiaux de la technologie , a été accusé de prendre parti dans le conflit du Sahara Occidental, un un territoire non autonome en attente de décolonisation, selon le droit international.

Loin de la propagande du Makhzen, les territoires sahraouis, que les Nations Unies considèrent toujours comme la dernière colonie d’Afrique , apparaîssent séparés du territoire marocain , reflétant son statut , conformément au droit international.

Pour mettre les choses au clair, Google a été contraint de publier un communiqué. Dans une déclaration transmise à l’AFP , le géant américain a affirmé : « Nous n’avons apporté aucune modification au Maroc ni au Sahara Occidental sur Google Maps. Ces indications sont conformes à notre politique de longue date concernant les régions contestées. .