La servitude volontaire d’Etienne Botié , est devenue non seulement une obsession chez les néo-indigènes, mais un modus operandi pour se soummettre aux agendas des ennemis de l’Algérie, en l’occurrence les néocolonialistes, les sionistes et les nostalgiques de l’Algérie française, du Paris Perdu et leurs larbins terroristes du MAK et Rachad.
Les larbins d’identifiant aux actes terroristes menés contre le peuple Algérien, sont aujourd’hui bien pris en charge par les officines de la néocolonialisme, à l’instar de cette caste de néo-indigènes représentée par Riposte Internationale d’Ali Ait Djoudi, ou de PADA, un pari de néo-harkis, créé récemment.
Cette caste de néo-indigène avait écrit un message au ministre français des affaires étrangères Jean-Noël Barrot avant son déplacement à Alger, l’interpelant sur la question des “droits de l’homme ” en Algérie, oubliant de facto de l’interpeller sur la chasse aux sorcières des Algériens, qui font face à l’appareil policière représsif de l’algérophobe ministre français de l’Intérieur Bruno Retailleau et sa militarisation de la justice française.
Cette caste de néo-indigènes des temps modernes s’est tue quand l’adolescent Nehad s’est fait lâchement assassiné par la police française, et avait observé le croque-mort quand l’influenceur Doualem s’est fait emprisonné injustement par le raciste et fasciste Bruno Retailleau.
La caste des néo-indigènes bien liée aux terroristes du MAK et de Rachad
Comme nous l’avons souligné dans un précédent article, le parti des néo-harkis a été créé le 1er novembre 2023, une manière de ternier l’image d’une date historique pour les Algériens et symbolise la bravoure et la détermination du Peuple Algérien à se libérer du joug colonial et édifier son Etat national, conformément aux sacrifices de nos glorieux martyrs et le serment de nos valeureux moudjahidine.
La création de PADA est identique au lâche attentat perpétré par l’organisation terroriste du GIA le premier novembre 1994, à Sidi Ali dans la wilaya de Mostaganem faisant une dizaine de martyrs, dont des enfants martyrs de scouts musulmans venus commémorer le 50 ème anniversaire du déclenchement de la glorieuse révolution du premier novembre et se recueillir sur la mémoire de nos glorieux Chouhadas.
Outre PADA, il est nécessaire de mettre la lumière sur la chaîne Youtube « Alternatv » de Rabah Moula, établi au Canada dont les liens avec les organisations terroristes du « MaK et Rachad »,ne sont plus à présenter. L’agent indigène de la désinformation en service commandé par l’impérialisme international, Rabah Moula, est d’ailleurs connu depuis très longtemps pour son investissement sans limite du côté des forces coloniales.
Les signataires de cet appel affirment qu’il ne s’agit nullement d’une demande d’ingérence dans les affaires internes de l’Algérie. De quoi s’agit-t-il donc? Le terroriste Ali Ait Djoudi qui joue l’intermédiaire entre les organisations terroristes du MAK et de Rachad s’était illustré pas sa participation remarquée au palais Bourbon, à un colloque organisée à l’assemblée nationale française le 15 octobre 2021, appelant àune intervention militaire en Algérie.
Ali Ait Djoudi et son ONG Riposte Internationale (RI) qui flirte avec le terrorisme des MAK et Rachad avait appelé en octobre 2021, à l’intervention militaire de l’OTAN pour démanteler l’Etat national en Algérie, à l’instar de l’intervention militaire en Libye en février 2011 .
Lyès Djebaïli, un agent de l’entité sioniste
Dans le même cadre, il faut noter que parmi cette caste des néo-indigènes,le sinistre Lyès Djebaïli, un agent de l’entité sioniste qui n’a pas hésité, à venir au secours du Makhzen, en justifiant le bombardement des routiers algériens par l’armée d’occupation marocaine en novembre 2021. Dans un post en date du 5 novembre 2021, ce néo-harki parisien se demandait ce que faisaient les camions algériens au Sahara Occidental colonisé par le régime du Makhzen.
Ali Ait Djoudi, le promoteur du terrorisme
Ali Djoudi, préside l’organisation inféodée au terrorisme international appelée « Riposte Internationale », et promoteur des complots terroristes du « MAK » et de « Rachad », au service des généraux génocidaires de l’armée sioniste.
C’est un partenaire de Sanhadja Akrouf (la pseudo-militante féministe affiliée à la gauche coloniale française), une psychopathe de la place de la République, qui milite depuis longtemps pour la destruction de l’Algérie par le canal de la « démocratie » dont le peuple est actuellement d’ailleurs privé en France. Ce qui trahit leurs slogans, ce sont les interdictions officielles de manifestations en soutien au peuple palestinien, alors que leurs groupuscules sont autorisés à crier publiquement leur haine en France contre le peuple algérien.
D’autre part, ilfaut noter que Sanhadja Akrouf et Lyès Djebaili sont les animateurs, en indigènes éclairés, du meeting colonial du 26 février 2022 de toute la gauche française rassemblée contre le peuple algérien, à la bourse du travail à Paris. Sanhadja Akrouf est aussi cette serveuse de la politique indigène, présente à la séance d’appel à la guerre contre le peuple algérien (organisée par Marie Georges Buffet, députée PCF) et lancé à partir de l’Assemblée Nationale Française, le 15 octobre 2021.
Ces deux collabos, sinistres personnages au service du régime génocidaire contre le peuple palestinien, sont au centre de la nébuleuse du complot qui se trame dans le dos de l’Algérie. Incapables de faire barrage, chez leurs maîtres en France, au fascisme généralisé qui s’étale devant les yeux du monde entier, ces « clochards » de la politique indigène s’attachent à la destruction du peuple algérien. Voilà les raisons pour lesquelles les hauts gradés militaires de l’état génocidaire qualifient les palestiniens « d’animaux ».
Pour sa part, Ali Ait Djoudi se déclare comme le serviteur des colons par excellence , ce qui expliquerait sa proximité avec les groupes terroristes du MAK et de Rachad. Quel est l’intérêt de celui qui fait des salamalecs du Ramadhan, pour se prendre en photo devant une synagogue à Malte ? Quel est le message envoyé à travers cette photo, si ce n’est l’alimentation de la guerre du choc des civilisations ?
Riposte Internationale-MAK, même combat?
Comme le laisse deviner la similitude de l’identité du logo de l’ONG avec l’organisation terroriste le MAK, il n’est pas exclu que le salarié et trabendiste des « droits de l’homme » est plus proche de la stratégie destructrice du chaos du terroriste et maître-chanteur Ferhat M’henni.
Mais cela n’est pas étonnant si on tient compte du fait que Ali Ait Djoudi est un militant vétéran du Mouvement culturel berbère (MCB) tout comme son ami Ferhat Mehenni, le chef des sécessionnistes kabyles, président du Mouvement pour l’autodétermination de la Kabylie (MAK).
Ali Ait Djoudi et le terroriste Ferhat M’henni
Il convient de rappeler que l’ONG Riposte Internationale avait déposé un « rapport sur les violations des libertés en Algérie » auprès du Haut-Commissariat des Nations Unies aux droits de l’homme à Genève, le 15 septembre 2020, les militants n’arboraient ni le drapeau algérien, ni la banderole de l’ONG, mais bel et bien le drapeau de Bessaoud-Bénet.
Les LDH et FIDH, les soutiens aux activités subversives des terroristes du MAK et Rachad et aussi Risposte internationale
A ce sujet, il faut bien souligner que des membres très proches de l’organisation du MAK (Riposte Internationale de A. Ait Djoudi) s’activent au sein de cette LDH.
En principe, cela suffisait pour disqualifier son propos, puisqu’il prouve qu’il fait bien partie de ces organes qui continuent à faire valoir le droit d’attaquer les peuples qui refusent de se soumettre à leurs diktats, en utilisant des valeurs auxquelles ils ne croient même pas eux-mêmes !
Et là, il faut bien noter , que le très controversé Patrick Baudouin, le subversif de la campagne d’hostilité de ” Qui Tue Qui” menée contre le Peuple Algérien et ses institutions a ouvert les portes de LDH et FIDH pour mener une guerre contre l’Algérie depuis plus de plus de trois décennies.
Il s’agit du complot le plus meurtrier infligé au peuple algérien depuis l’Indépendance par la France coloniale, au moyen des monstres que François Mitterrand, l’ancien Président-guillotineur de Fernand Yveton, voulait installer en Algérie. Ce projet infernal a été déjoué in extrémis par l’ANP, digne héritière de l’ALN, et les services de sécurité , bien soutenus par le Peuple Algérien
Pour marquer de son empreinte coloniale, d’obédience complotiste contre le peuple algérien, pour le compte du régime d’Apartheid des généraux de Tel-Aviv, Patrick Baudouin avait reçu à son cabinet d’avocats (le 6 juin 2023) le groupe terroriste du MAK, avec à leur tête Ferhat Mehenni.
Ces terroristes berbéristes (partenaires d’Eric Zemmour, de Riposte Laïque, des Identitaires), dont les groupuscules sont recrutés parmi les ivrognes, dans les brasseries de Montreuil, de Saint-Denis, de Bobigny, dans le 20ème et dans le 18ème Arrondissements de Paris, sont ceux qui ont participé à la grande messe islamophobe du « choc des civilisations » de toute l’extrême-droite européenne, à l’Espace Charenton, dans le XIIème arrondissement de Paris, le 18 décembre 2010. Sans oublier que ces terroristes, partenaires de la LDH et de son Président, sont ceux-là même qui manifestent à Paris avec le drapeau sioniste, et à qui on a fait adopter le salut nazi dans leurs rassemblements! Ce qui ne semble choquer ni Patrick Baudouin, ni personne à la LDH !!!
Au sein de la LDH, ces groupes « berbéro-terroristes » sont représentés notamment par Ahmed Dahmani et Yazid Temim (un rabatteur professionnel sur Youtube), qui organisent le racolage politique et la haine contre le peuple algérien, sous-couvert des droits de « l’Homme ».
Ces deux médiocres animateurs politiques travaillent en tant qu’attachés militaires pour Ali Ait Djoudi, cet architecte du terrorisme international en Algérie, dont le travail consiste à cimenter les violents courants de guerre « islamo-berbéristes » contre le peuple Algérien, et derrière la bannière coloniale, pour une Riposte-Internationale Sioniste.
A côté de Aïssa Rahmoune, le promoteur du terrorisme ethnique au sein de la FIDH, Ahmed Dahmani et Yazid Temim, les choristes des « droits de l’Homme blanc » pour les indigènes (appartenant à la même obédience du terrorisme), sont des personnes de confiance au sein de la LDH, cette organisation dictatoriale qui gargarise ses pages de guerre coloniale, avec les slogans purgés de leur sens de «liberté » et de « démocratie ».
Si elle était aussi démocratique qu’elle le prétend et attachée à la liberté d’expression, pourquoi alors a-t-elle sournoisement poussé à la dissolution d’un groupe autogéré appelé « PALISRA (Palestine-Israël)»?
En effet, des ligueuses et des ligueurs, qui estimaient que la voix de la justice, dans la guerre que mène Israël au peuple palestinien, était (et reste) étouffée, se sont alors organisés en interne au sein de cette organisation, sous l’appellation « PALISRA », afin de permettre l’émergence d’un peu de « Droit » au sein de cette organisation totalement dominée par le courant sioniste.
La LDH ne demande pas directement au gouvernement français, complice du génocide en cours en Palestine occupée, l’arrêt de l’approvisionnement en armements des généraux du régime génocidaire de Tel Aviv, alors qu’elle avait engagé le 12 juillet 2021, en compagnie d’une jolie brochette néocoloniale (Agir ensemble pour les droits humains –AEDH- ; Cairo Institute for Human Rights Studies –CIHRS- ; Collectif des familles de disparu(e)s en Algérie –CFDA- ; Réseau EuroMed Droits ; Fédération Euro-Méditerranéenne contre les disparitions forcées –FEMED- ; Fédération internationale pour les droits humains (FIDH) ; Ligue des droits de l’Homme –LDH- ; Riposte Internationale), un courrier au gouvernement de la France (qui éborgnait alors et mutilait les Gilets Jaunes), une lettre dans laquelle elle demandait l’arrêt des ventes de grenades lacrymogènes à l’Algérie, afin que leurs agents terroristes (appelés pour l’occasion « société civile ») puissent achever leur travail chaotique dans l’ancienne colonie.
Patrick Baudoin, avocat belge, installé à Paris, fidèle à sa réputation d’un défenseur des coupeurs de têtes du GIA durant la décennie noire, poursuit sa mission en ouvrant largement les portes de la LDH à son ami, le terroriste Ferhat M’henni du MAK, bien soutenu par les sionistes, marocains et les nostalgiques de l’Algérie française.
Ainsi, le siège de la LDH sis au 138 rue Marcadet 75018 à Paris, avait abrité en 2023, une rencontre tenue secrète entre des membres des organisations terroristes du MAK et de Rachad, dans la perspective de coordonner des actions terroristes en Algérie. Cette rencontre coïncidait avec la visite du Rapporteur spécial des Nations unies sur le droit de réunion pacifique et d’association, Clément Nyaletsossi Voule, et à quelques jours de la campagne mensongère menée par l’autre ONG helvétique TRIAL, visant l’Algérie et ses institutions républicaines souveraines.
La LDH et l’exportation du terrorisme
Au l’instar de la FIDH, la LDH et Patrick Baudoin semblent déterminés à opter pour l’exportation du terrorisme, comme un modus operandi après l’essoufflement de leur plan mis en oeuvre, à l’occasion de ce qu’a été appelé « printemps arabe ». Le renouvelé et redynamisé plan de mettre l’Algérie à feu et à sang, intervient au moment où la France néocoloniale perd de son influence dans la région du Sahel et la perte de son pré-carré, source de sa richesse et le bien-être de ses citoyens.
Patrick Baudoin, sa LDH et la FIDH, multinationales des droits de l’Homme en France et dans le monde, préfèrent fuir le débat d’idées, au moyen d’un vocabulaire resté colonial. Les seules répliques de ces civilisateurs, au nom des « Droits de l’Homme », sont la menace et les procès devant des tribunaux métropolitains, et le silence lorsqu’il s’agit des violations des droits de l’homme par leurs sponsors et employeurs. Et les exemples n’en manquent pas.
Lire: https://algerie54.dz/exportation-de-la-democratie-4/
LDH et FIDH: Deux ONG au service des ennemis de l’Algérie
Riposte Internationale-MAK: Ali Ait Djoudi sur les pas du terroriste Ferhat M’henni
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Naissance d’un nouveau parti (PADA) de « néo-harkis» en France
