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En plein génocide du peuple palestinien: le sulfureux Mohamed Sifaoui, clame son sionisme

Traitre un jour, traître pour toujours, c’est le parfait dicton qui s’applique au sulfureux Mohamed Sifaoui, le supplétif du CRIF, qui vient de confirmer son allégeance au sionisme, via une publication postée sur son compte X, anciennement Twitter. Cela est loin d’être une surprise pour un supplétif menacé de plus en plus par la prison dans la foulée de « « affaire fonds Marianne » .

« Il y a des moments dans l’histoire où il ne faut pas avoir piscine ! #JeSuisJuif et #JeSuisSioniste et je méprise profondément tous ceux qui veulent nous faire vivre ou faire vivre nos amis, nos compatriotes, nos voisins, nos collègues, nos frères dans la terreur ! Oui je méprise tous les tenants de l’antisémitisme et du terrorisme ainsi que leurs alliés et leurs soutiens, conscients et inconscients » écrit-t-il.

Ce logiciel primitif qui s’attaque régulièrement à l’Algérie et ses institutions, sur injonctions de ses employeurs sionistes et nostalgiques de l’Algérie française, n’a pas d’autres alternatives que d’inscrire dans un nouveau registre commercial politique de clamer son soutien au sionisme, au moment ou des milliers de palestiniens se font massacrer par cette entité sioniste, sachant que le fonds de commerce politique utilisé par Mohamed Sifaoui, lors de l’adoption de loi sur le séparatisme, destinée à promouvoir l’islamophobie et la chasse aux musulmans, comme c’est le cas aujourd’hui pour cette politique néocoloniale de ficher S des écoliers mineurs, pour la simple raison qu’ils se revendiquent être des musulmans ou expulser des enseignantes parce qu’elles portent des « abaya ». Le fonds de commerce sur le séparatisme a accouché d’un détournement de fonds bien orchestré par Marlène Chiappa, l’ancienne ministre déléguée  auprès du ministre de l’Intérieur de France, en charge de la Citoyenneté, et dont l’un des acteurs-clés n’est autre que le sulfureux Mohamed Sifaoui.

 

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Des sénateurs français revendiquent la pénalisation de l’anti sionisme
17 sénateurs français  réclament la pénalisation de l’antisionisme, dans le cadre de l’OPA exercé par les lobbys sionistes sur la France et ses institutions.  Avec 16 de ses pairs, le sénateur Stéphane Le Rudulier entend mettre en place un important arsenal répressif contre les détracteurs de l’entité sioniste. une proposition de loi a été déposée  le 10 octobre dernier, et qui consiste à jeter en prison les personnes hostiles à cette entité sioniste ou à infliger de lourdes amendes pour les opposants à l’Etat d’Israël.Ce texte, soumis au Sénat pour une première lecture, porte modification de l’article 25 de la loi du 29 juillet 1881 sur la liberté de la presse. Trois formes d’actes considérés comme «antisionistes» sont visés : la contestation, l’injure et la provocation à la haine ou à la violence contre l’Etat hébreu.

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