Le géant énergétique italien ENI n’a pas tardé à réagir aux mensonges d’Abdou Semmar, repris par le média transalpin La Repubblica.
Un porte-parole de la société italienne dément toutes difficultés du côté algérien concernant la disponibilité actuelle et future des volumes supplémentaires convenus de gaz qui sont déjà acheminés vers l’Italie ».
Plus tôt cette semaine, le PDG d’ENI, Claudio Descalzi, a déclaré que l’Italie « pourrait survivre » à l’hiver prochain sans gaz russe, tant que les températures seraient douces.
En sulfureux propagandiste de bas étage, Abdou Semmar dans sa stratégie de dénigrement de la Sonatrach, avait indiqué que l’Algérie ne pourra pas honorer ses engagements pour la livraison de quantités de gaz supplémentaires.
« Rome recevra environ 200 millions de mètres cubes de carburant contre un milliard, sur lequel on comptait, selon la matière. Cela s’est produit en raison des difficultés de la société pétrolière et gazière publique algérienne Sonatrach à mettre en service les installations de production nécessaires » dira le sulfureux expert.
Sur ce registre, le sulfureux expert ne s’attaque pas uniquement à la Sonatrach et ses responsables mais aussi au géant italien ENI. Ce dernier n’aurait jamais conclu un accord avec les algériens s’il n’était pas sur que la Sonatrach tiendra ses engagements. Et ce n’est pas un individu de l’envergure de Semmar qui va éclairer les italiens.
Il est certain que les italiens disposent d’études exactes et précises sur les capacités de la Sonatrach.
Pour rappel, Eni avait signé en avril dernier un accord avec la Sonatrach, selon lequel l’approvisionnement en gaz de Rome devrait passer à 9 milliards de mètres cubes par an en 2023-2024.
Avant la signature de l’accord, l’Algérie vendait environ 21 milliards de mètres cubes de gaz par an à l’Italie (Russie – environ 29 milliards de mètres cubes par an).
Le larbin de l’ancien PDG de la Sonatrach Abdelmoumen Ould Kaddour, qui lui a filé 500 mille euros pour lancer une chaîne de télévision, est obsédé par le retour tonitruant de la compagnie nationale, et ne rate aucune aubaine pour diffuser ses diarrhées et mensonges visant à ternir l’image du pays, ses institutions, et ses entreprises souveraines. D’ailleurs, ce n’est pas les désinformations et mensonges d’Abdou Semmar, qui vont ébranler la détermination de la Sonatrach à se positionner sur le marché énergétique international. D’ailleurs les sociétés énergétiques espagnoles comme Naturgy, qui ont payé cher leur aliénation aux diarrhées d’Abdou Semmar. Des diarrhées qui ont ouvert la voie au géant italien ENI de revenir en force en Algérie au détriment des sociétés espagnoles qui suivirent la propagande d’Abdou Semmar et ses employés du Makhzen et du Mossad.
