Tamanrasset, marché régional de produits agricoles

C’est dans un indescriptible capharnaüm, une véritable vision apocalyptique, que nous mène Abderahmane Sahboun. Dante n’eût pu songer à pareils décors pour son enfer, tant ces scènes cauchemardesques dépassent toute imagination.

Les terroristes du MAK, le Dalai Lama et l’U.N.P.O

Ce titre, qui semble surréaliste et humoristique, retrace pourtant une réalité bien concrète: les liens entre les terroristes du M.A.K et une discrète, mais très puissante O.N.G tendance CIA, encore une de plus! L’U.N.P.O, Officiellement, en anglais: Unrepresented Nations and Peoples Organization. Créée après la chute du mur de Berlin, et la dislocation de l’Union soviétique, elle s’est spécialisée  dans la construction des séparatismes dans les pays de l’ex-bloc de l’Est, plutôt riches en ressources minières.

L’ensauvagement des jeunes « immigrés » par la France ripoubellecaine et démoncratique

Dans ma précédente contribution consacrée à la violence dans l’hexagone, j’avais écrit qu’en France la violence est un rite social canonique, un mode d’expression normatif. (1). C’est dans ce séculaire climat délétère imprégné par la culture de la violence et de la haine, accentuée par la décomposition de la société française, qu’évoluent les enfants. Notamment les jeunes issus de l’immigration.

Grand Mercato au cirque politique (Partie 3 et fin)

Et c’est dans le cadre de cette tentative de Mercato insensé que j’ai appris avec  consternation, que des Algériennes et Algériens, qui m’ont rapporté cet épisode, qu’ il a eu à subir les quolibets et railleries de ces « gens », qui prétendent les représenter ! 

Palestine occupée: en parlant de génocide… Rappel!

Si l’on peut se réjouir de voir (enfin) les grandes ONG et jusqu’aux institutions internationales prendre la mesure du drame incommensurable qu’essuie la population palestinienne depuis des décennies qu’elle vit une Nakba permanente, il faut néanmoins dénoncer leurs lenteurs administratives. Ces fonctionnaires grassement rémunérés n’ont que trop tardé dans leur prise de conscience de l’étendue des dévastations et du malheur absolu qu’endurent une population assiégée de toutes parts, tant par le régime colonial d’apartheid, ses soutiens, son armée et ses colons, que par le peu de cas qu’en ont fait ces institutions prestigieuses ayant manqué à leurs devoirs élémentaires.

La provocation de l’Iran est-elle le prélude à une escalade annonçant la fin d’une colonisation anachronique ?

Malgré tous les moyens déployés l’armée d’occupation n’est pas arrivée à « éradiquer le Hamas », quelques milliers de combattants en armes légères et beaucoup de convictions – sans entamer la volonté des Palestiniens déterminés à récupérer leur pays spolié. Les captifs israéliens sont toujours entre les mains de la résistance palestinienne. Une folie s’empare des dirigeants sionistes d’Israël ! 

En France, la violence, un rite social canonique, un mode d’expression normatif

Selon une opinion élitiste et idéaliste communément répandue, la France serait le pays par excellence de la Culture. Mais, en réalité, à ce vocable culture, déclamé comme un compliment, doit être adjoint son terrible complément. En effet, pour rétablir la vérité sociologique, à ce nom Culture manque un complément de nom, qui vient jeter une lumière crue sur cette sombre France cruellement belliqueuse : violence. Aussi, il serait plus conforme à la réalité de définir la France comme un pays de culture… de la Violence. La mentalité française est imprégnée par la Culture de la violence.

Il Y a 50 ans, Houari Boumediene s’exprimait devant l’Assemblée Générale de l’ONU

C’était le mercredi 10 avril 1974, l’ancien président Algérien Houari Boumediene, également président en exercice de la quatrième conférence  du sommet des pays non alignés; s’exprimait devant l’assemblée extraordinaire de l’Assemblée Générale de l’Organisation des Nations Unies ONU, plaidant pour un nouvel ordre mondial plus juste et plus équitable.

France : sous-couvert de lutte anti-drogue, criminalisation des jeunes et des musulmans 

Au lendemain des révoltes urbaines de 1967 qui avaient balayé les États-Unis et, surtout, ébranlé et tétanisé la bourgeoisie blanche américaine, une commission nommée par le président Lyndon B. Johnson publie un rapport en 1968. Le rapporteur, en préambule, décrit de la manière suivante les Afro-américains qui se sont révoltés : « Quant aux émeutiers, ces pillards menaçants et incendiaires dont la violente irruption a précipité cette étude, ils avaient tendance à être, curieusement, quelque peu plus éduqués que les « frères » qui restèrent à l’écart.