Le 23 août 1932 naissait le président Houari Boumediene, devenu symbole de lutte contre le colonialisme et l’impérialisme.
Son nom incarne la détermination des Peuples des quatre coins de la planète à aller vers un monde plus juste, débarrassée de l’hégémonie occidentale et sioniste.
Pour les Algériens, le Feu Houari Boumediene demeure le symbole de cette Algérie jalouse de son indépendance chèrement acquise grâce aux sacrifices de ses dignes fils, et tournée vers le développement et le progrès pour édifier et pérenniser un Etat national, très respecté sur la scène internationale. Son soutien indéfectible aux causes sahraouie et palestinienne, ainsi que son intervention devant l’assemblée générale extraordinaire de l’ONU en avril 1974, demeurent gravées dans les mémoires, non seulement des Algériens mais aussi des forces vives de ce monde. Le conflit en Ukraine a remis en surface sa vision exprimée en 1974, témoignant la grandeur de cet homme, que les nouvelles générations algériennes l’adulent sans l’avoir vu. Ces mêmes générations comptent énormément sur l’arrivée au pouvoir d’Abdelmadjid Tebboune, pour parachever les efforts déployés par le Feu Boumediene qui avait forcé le respect et l’admiration de l’Algérie, au sein du concert des Nations. Le président Tebboune a jeté les premiers jalons en rejetant toute concession sur la souveraineté politique et économique du pays, en exprimant sa fidélité aux sacrifices de nos glorieux martyrs et nos valeureux moudjahidine. Ses positions exprimées à maintes reprises du refus de l’Algérie de toute normalisation avec l’entité sioniste, aux crises avec le Maroc , l’Espagne et la France, et son souci d’intégrer le pays au sein du BRICS, comme fondement du non-alignement de l’Algérie, témoigne les similitudes entre les deux hommes. Au président Tebboune d’aller de l’avant pour concrétiser les aspirations du Peuple Algérie qu’incarnaient le Feu Houari Boumediene.