Au moment ou on annonce l’assassinat de près de 90 journalistes palestiniens dans la bande de Gaza, lors de l’exercice de leurs fonctions, en plus des deux journalistes libanais de la chaîne libanaise d’Al Mayadeen, l’ONG, Reporters Sans Frontières RSF, annonce ce jeudi dans son rapport annuel de l’exercice 2023, que seulement En 2023, 45 journalistes ont perdu la vie dans l’exercice de leurs fonctions, contre 61 pour l’an passé.
L’ONG, dirigée par Christophe Deloire, lauréat du prix Dan David, le Nobel sioniste de la presse, a-t-elle compté les journalistes palestiniens tombés en martyrs pour la bonne cause celle de révéler au monde entier la vérité sur le génocide sioniste, en terre palestinienne de Gaza, et pour la bonne cause de mette à nu les mensonges et les campagnes de désinformation des médias occidentaux, alliés de l’entité sioniste, et accompagnateurs de cette dernière dans sa guerre de génocide et d’extermination du peuple palestinien.
Et pour couronner son mensonge le secrétaire général de RSF, Christophe Deloire indique à l’AFP «Cela ne réduit en rien la tragédie à Gaza, mais on observe une baisse régulière, très loin des plus de 140 journalistes tués en 2012, puis en 2013».
Sur ce registre, cette sortie confirme les accusations des auteurs et journalistes comme Michel Collon, Maxime Vivas( La face cachée de Reporters Sans Frontières) et Jacques-Marie Bourget, miraculé et victime d’une tentative d’assassinat prémédité à Ramallah par le Tsahal en octobre 2020, lors de l’exercice de sa profession(lire:RSF, l’instrument médiatique de l’OTAN) et qui n’ont pas tardé à dénoncer cette ONG, créée par le maire raciste de Béziers Robert Ménard, pour épingler les pays qui refusent le diktat occidental, tout en se servant les intérêts des puissances néocolonialisme et sionistes.
