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Les nouvelles provocations françaises

La France poursuit sa guerre contre l’Algérie, et ses dirigeants ne ratent aucune opportunité pour escalader la tension, après avoir perdu son influence dans cette Algérie qu’elle considérait comme « chasse gardée et vache à traire ».

Dernière provocation en date, est celle du président français Emmanuel Macron, avec une connotation de compassion, via un hommage rendu à l’artiste algérien Idir, décédé samedi soir à Paris, où le locataire de Palais de l’Elysée, évoquait la région natale de l’auteur de « A vava inouva », lui ôtant son algérianité, dans un parfait style de mensonge par omission, bien exercé par les médias de la Mainstream néocoloniales. En évoquant la poésie d’Idir, il insistera sur sa vocation méditerranéenne, une manière de nous imposer implicitement la reconnaissance de l’entité sioniste.
Emmanuel Macron, n’a pas dérogé à la règle de son prédécesseur François Hollande, dont l’hommage à Idir est un copier-coller.
Par contre, les deux locataires du palais de l’Elysée, avaient omis de reconnaître que la star Charles Aznavour était un arménien avant d’être français, et qu’ils n’osaient jamais dire que l’auteur de la « Bohème » est un arménien, sachant qu’il avait été enterré chez lui à Erevan, et non à Paris.

Cela arrive, peu de temps après cette atteinte à la souveraineté de l’Algérie par l’armée française, via un tweet néocolonialiste, qui met le cœur palpitant de l’Algérie « la Kabylie » en dehors de son espace naturel et civilisationnel

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