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Gilets Jaunes,Liban, Mali, Biélorussie :Les déboires de Macron

Selon des médias français, le Palais de l’Elysée redoute une escalade des Gilets Jaunes à moins de deux années de la présidentielle de 2022.

Selon ces mêmes médias, L’actuel Président français Emmanuel Macron craint d’être empêché de briguer un nouveau mandat, dans le sillage d’une éventuelle escalade de la contestation des Gilets Jaunes, dans une France très affectée par une crise socioéconomique ajoutée à une crise sanitaire loin d’être maîtrisée, à la lumière des dernières informations annonçant un éventuel reconfinement lié à une nouvelle vague de pandémie qui se profile à la veille de l’automne et la rentrée sociale.

Les Gilets Jaunes promettent l’enfer

Les Gilets Jaunes promettent déjà de paralyser l’Hexagone le12 septembre pour exprimer leur colère contre la politique d’Emmanuel Macron. Sur ce plan, le média britannique The Telegraph.co.uk, indique que  le président français aurait déclaré : “je suis sûr de gagner puisqu’il n’y a pas personne en face de moi”. L’Elysée avait immédiatement démenti l’information ajoutant toutefois que “par principe, aucune hypothèse n’est écartée”.

Cette sortie aurait boostée la détermination des Gilets Jaunes à durcir leur mouvement de protestation pour chasser Emmanuel Macron du Palais de l’Elysée

Très critiqué sur la scène intérieure malgré le changement de gouvernement opéré, le locataire du Palais de l’Elysée tente de détourner l’opinion publique française, en occupant le terrain de la diplomatie étrangère via les situations au Liban, Mali et Biélorussie.
Au Liban, Emmanuel Macron joue la girouette des américains et sionistes, au lendemain des explosions de Beyrouth, en tentant de relancer le dossier du désarmement de la résistance libanaise représentée par le Hizboallah, mais sa tentative d’occuper les rues de la capitale libanaise a été vouée à l’échec, car les libanais ne digèrent pas ce jeu de colonisateur exprimé par Macron. Ce dernier sera de nouveau désavoué par la Cour Pénale Internationale CPI, sur le dossier de l’assassinat de l’ancien Premier Ministre Rafik Al Hariri, le privant de brandir le Chapitre 7 devant le Conseil de Sécurité de l’ONU, pour une éventuelle intervention étrangère au Liban.
Le président français sera de nouveau sur la sellette, dans le dossier malien, après le coup d’état militaire, et la destitution de son allié IBK, sachant que les maliens sont sortis à la rue pour exprimer leur soutien aux militaires et appelé au retrait des troupes françaises.

Si la France macronienne, appelle au respect de l’ordre constitutionnel au Mali, elle ne le fait pas en Biélorussie, comme l’atteste sa campagne médiatique, propagandiste et diplomatique, menée contre la réélection de Loukachenko. Ce dernier répliquera par un tweet sur son compte officiel »

«Au lieu de nous montrer du doigt, je leur conseille simplement d’inscrire à l’ordre du jour de leurs réunions les questions sur les Gilets jaunes en France, les terribles émeutes aux États-Unis»

 

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