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La région de la Kabylie lui a tourné le dos quant à son appel à la grève générale : Ferhat la « Bérézina » !

Par Hocine NeffahLe MAK, ce conglomérat créé dans les laboratoires des officines étrangères et par la bénédiction du sionisme et du Makhzen, est en phase d’annoncer bon gré malgré son oraison funèbre et entériner sa dernière partition telle une danse de derviche hanté par son psittacisme.

La messe est dite.. Le quidam qui se prend pour le représentant autoproclamé de la Kabylie, Ferhat Mehenni en l’occurrence, vient d’essuyer un échec cuisant dans ladite région qui a été « prise » comme otage en la décrétant comme une « suzeraineté » exclusive pour une cohorte d’errants et de « troubadours » comme aimait à le dire ce sieur à la solde de l’impérialo-sionisme.

La Kabylie qui fait partie intégrante de l’Algérie dans son expression plurielle et riche a tourné le dos à l’appel à la grève générale dans la région le jeudi passé pour laquelle avait appelé ce « président » autoproclamé d’un semblant gouvernement nommé abusivement kabyle.

La leçon du jeudi passé va clore définitivement et d’une manière irréversible le funeste chapitre d’un personnage qui avait cure de ses échecs et ses loufoqueries sur le plan politique depuis son implication dans la chose politique et ses conséquences sur le parcours adopté par les siens.

Le président d’un mouvement nombriliste et groupusculaire, à savoir le MAK, a de tout temps fait recourt à des saltimbanques pour justifier sa volte-face politique. Depuis 1994 au jour d’aujourd’hui, n’a fait que cumuler les déceptions et des catastrophes dans son sillage.

Ferhat Mehenni doit maintenant se terrer quelque part dans l’hexagone ou chez les sionistes qui ne cesse de les prendre pour un modèle à exporter y compris dans la région de la Kabylie. Le délire frénétique de ce quidam a failli provoquer la diversion de trop avec ces fourberies et balivernes dans un contexte particulier du pays.

Marx disait que « Celui qui ne connaît pas l’histoire est condamné à la revivre ». Cette maxime a été moult fois utilisée par Ferhat Mehenni le jeune. Mais Ferhat qui a aujourd’hui l’âge du Mathusalem en politique, n’arrive pas à en découdre avec son ineptie et sa faillite sur le plan mental qui est la source de ses débâcles et calamités.

Les citoyens de la région de la Kabylie ont bien répondu à Ferhat Mehenni, ils ont décidé ainsi lui rendre la monnaie de sa crédulité et crétinisme en l’ignorant ipso facto. Point de grève générale en Kabylie, les citoyens de la région ne se souciaient pas outre mesure quant aux déclarations délirantes de celui qui se croyait réellement le dépositaire autoproclamé des citoyens de notre chère région, à savoir la Kabylie.

Ferhat Mehenni ne sait plus à quel saint se vouer, plus que ça, il va maintenant trouver des formules fumeuses et surannées pour justifier la Bérézina qui vient de le supplanter d’une manière abracadabrante.

On ne peut pas continuer à propager des mensonges éternellement sans que cela se ferait étayer par des vérités combien même dissimulées pour la circonstance.

La chimère de Mehenni est complètement disloquée et émiettée, elle ne peut plus résister à la réalité têtue d’une Algérie plurielle, une Algérie telle une mosaïque dans son unité et sa diversité plusieurs fois millénaire.

Le semblant discours séparatiste et « indépendantiste » de pacotille n’a pas pris l’élément essentiel de l’histoire comme facteur d’analyse et d’appréhension quant au processus civilisationnel de ce pays et les sacrifices consentis dans la perspective de renforcer le lien de la patrie et de la consolidation de l’attachement et l’appartenance à une nation dans toutes expressions et cultures nationales.

Mehenni doit maintenant se contenter à faire dans le rôle clownesque d’un groupuscule d’acculturés en quête d’une « identité » hybride à adopter pour se faire une raison comme une sorte de morbidité continuelle qui alimentera ses extravagances et ses impostures à répétition.

Le MAK, ce conglomérat créé dans les laboratoires des officines étrangères et par la bénédiction du sionisme et du Makhzen, est en phase d’annoncer bon gré malgré son oraison funèbre et entériner sa dernière partition telle une danse de derviche hanté par son psittacisme.

 

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