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Maroc Diplomatique, bien sucré pour plaire à l’entité sioniste

"Certains Marocains n'aiment pas mes prises de positions, mais au lieu de m'attaquer sur le plan des idées, ils me dénient mes qualités de juif et de marocain" telle est la réponse de l'auteur et journaliste franco-marocain Jacob Cohen, exprimée sur son compte Facebook, à l'insignifiant rédacteur de l'article" Jacob Cohen , ni juif ni marocain, mais potiche, girouette et opportuniste"… Hassan Alaoui, publié par le subversif instrument Maroc Diplomatique, inféodé à la machine propagandiste du Makhzen.

« Certains Marocains n’aiment pas mes prises de positions, mais au lieu de m’attaquer sur le plan des idées, ils me dénient mes qualités de juif et de marocain » telle est la réponse de l’auteur et journaliste franco-marocain Jacob Cohen, exprimée sur son compte Facebook, à l’insignifiant rédacteur de l’article » Jacob Cohen , ni juif ni marocain, mais potiche, girouette et opportuniste »… Hassan Alaoui, publié par le subversif instrument Maroc Diplomatique, inféodé à la machine propagandiste du Makhzen.

D’ailleurs, ce n’est pas étonnant de voir le même rédacteur et le même instrument propagandiste récidiver dans ses calomnies pour porter atteinte à un auteur connu pour ses positions courageuses pour les droits des peuples, et ses analyses pertinentes, en la personne de Jacob Cohen, auteur du « printemps des Sayanims », une semaine après avoir dénigré l’ancien envoyé du SG de l’ONU pour le Sahara occidental, le diplomate américain Christopher Ross. Ce dernier a contraint la voix de son maître à publier son droit de réponse pour éclairer à l’opinion publique marocaine sa véritable mission, barrant la route aux mensonges du rédacteur de Maroc Diplomatique, et aussi au représentant de la royauté à l’ONU, Omar Hilale. Joint par Algérie54, la victime de cette campagne haineuse du Makhzen dira « Je suis devenu un gêneur dans le paysage politico-médiatique marocain, quelqu’un qu’il vaut mieux ne pas citer, car cela risque de provoquer l’ire royale « .

Et de poursuivre » Au Maroc, ce sont des choses qui n’ont pas besoin d’être dites. On a deviné que Cohen sent le soufre, qu’il déplaît au conseiller du roi André Azoulay, alors les médias en tirent la leçon. Depuis quatre ans au moins, aucun média marocain, de gauche ou de droite, francophone ou arabophone, traditionaliste ou moderniste, numérique, audiovisuel ou sur papier, n’a jugé utile ou opportun de solliciter mon avis. Comme une chape de plomb qui est tombée sur le paysage médiatique. Les médias ont la trouille. Comme ils savent que je n’ai pas ma langue dans ma poche, et que je ne comprends pas la nécessité de composer avec les réalités, ils ne veulent pas prendre le risque d’un dérapage, surtout sur un sujet sensible comme la normalisation et l’envahissement sioniste qu’il entraine ».

Pour l’auteur du « printemps des sayanims » , » le régime n’a qu’une obsession : faire taire les médias et terroriser les journalistes. Et tous les moyens sont bons pour y arriver. Alors les médias ont le choix. Ou devenir comme Maroc Diplomatique la voix de son maître et bénéficier d’avantages appréciables, ou faire le dos rond en essayant de survivre et de laisser percer quelques critiques en espérant ne pas payer le prix fort ».

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