Au lieu d’aller manifester son soutien et solidarité avec ses collègues de la diplomatie française , en grève ce jeudi 2 juin, pour dénoncer un décret visant la mise à mort de la profession, l’ancien ambassadeur de France   2008 à 2012 et de 2017 à 2020,et ancien patron de la DGSE, Xavier Driencourt s’est de nouveau illustré par une attaque gratuite à l’égard de l’Algérie, en s’interrogeant sur le mode de gouvernance en Algérie, lors d’un entretien accordé à Berbère Télévision.

Le prétendu tuteur de l’Algérie, qui avait tissé des réseaux dans les secteurs politiques, médiatiques, économiques , culturels et sportifs ne ratent aucune aubaine, pour s’attaquer à l’Algérie, à l’instar de ses collègues Bernard Bajolet  » l’obsédé du cheval Qalbi » et Bernard Emié, actuel patron de la DGSE, Xavier Driencourt vient de sortir un livre sur l’Algérie intitulé » l’énigme Algérienne, chronique d’une ambassade à Alger »

«l’Algérie a dix-huit consulats en France, [alors que] nous n’avons qu’une ambassade, deux consulats à Orant et Annaba, cinq centres culturels et puis nous n’avons pas les mêmes facilités pour aller en Algérie» dira-t-il, oubliant que des milliers d’algériens demandeurs de visas sont « volés » annuellement vis le rejet de leur pays, sachant que son pays colonisateur est resté en Algérie 132 ans sans faire une seule demande de visa. En donneur de leçons, en matière de gouvernance, il devra nous expliquer comment son pays « civilisé » continue d’exposer des crânes de résistants Algériens dans ses musées, comme au temps du Moyen-âge avec les trophées de crânes exhibées en signe de victoire.

Il convient de rappeler, que l’ancien ambassadeur de France à Alger, « rédacteur en chef » de certains autoproclamés de la presse supplétifs de la DGSE

, auraient tissé des amitiés juteuses avec certains opérateurs dans divers secteurs, dont les tenants et aboutissants ne tarderont pas à remonter en surface. S’attaquer à l’Algérie à un mois du 60ème anniversaire de son indépendance est déjà un acte qui s’inscrit dans le cadre de la stratégie des officines qui n’ont pas oublié la défaite subie sur le sol du Paradis Perdu.