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Après Xavier Driencourt, Edouard Philippe: la nouvelle guerre coloniale contre l’Algérie

La nouvelle guerre coloniale de l’Etat profond menée contre l’Algérie,  est dans une phase d’escalade, comme l’illustrent bien les sorties de certains responsables français mis au placard, utilisés aujourd’hui comme porte-voix de cette stratégie haineuse à l’égard du pays des martyrs.
Ainsi, après les sorties de l’agent de la DGSE, Xavier Driencourt, c’est autour de l’ancien premier ministre français du premier mandat d’Emmanuel Macron, et actuel maire du Havre,Edouard Philippe de tirer son épingle de jeu néocolonial, en s’attaquant frontalement à l’Algérie, sur les colonnes du média L’Express, sur la question de l’immigration et des accords signés entre l’Algérie et la France en décembre 1968,via un titre calomnieux et insultant: immigration « subie », Algérie, délinquance… « On crève des non-dits »
A l’instar de l’ancien président français Nicolas Sarkozy, et l’ancien ambassadeur français à Alger, Xavier Driencourt, l’ancien Premier ministre dénonce  l’accord de 1968 avec l’Algérie.
Le virtuel successeur d’Emmanuel Macron pour la présidentielle française de 2027, compte placer ce dossier de l’immigration au devant de la scène politique française, pour détourner les français sur la loi impopulaire de la réforme des retraites, adoptée par la dictatoriale loi 49.3. Cette attitude  anti-algérienne s’inscrit dans la stratégie juppéiste, mise en oeuvre par l’ancien chef de la diplomatie française et maire-député de Bordeaux, et qui avait instauré une politique hostile à l’Algérie au niveau du Quai d’Orsay, depuis 1994, année durant laquelle, la France et son DGSE,était derrière l’embargo non déclaré contre l’Algérie, à l’origine des accusations injustes du Makhzen à l’égard des services de renseignements algériens lors des attentats terroristes de Marrakech, suivi de la fermeture des frontières terrestres entre l’Algérie et le Maroc. Xavier Driencourt était également un acteur,en tant qu’agent en permanence lors du détournement de l’Airbus par le groupe terroriste du GIA. Un appareil qui transportait aussi le chef terroriste du MAK, Ferhat M’henni.
 Edouard Philippe et la loi AVIA
Il convient de rappeler, que l’ancien premier ministre de Macron avait joué un rôle important dans l’adoption de la loi AVIA, destinée à museler toute voix opposée à la politique néocoloniale de la France. Cette loi a été confectionnée par Kamel Amellal, Laetitia Avia, Gil Taieb , vice-président du CRIF, sous la supervision D’Edouard Philippe.
La réunion de Tel-Aviv et ses desseins
La réunion de Tel-Aviv, regroupant les services du renseignements marocains, israéliens et français, visant la stabilité et l’unité de l’Algérie et son peuple, n’a pas encore livré tous les aspects de la conspiration. Et la sortie d’Edouard Philippe s’inscrit dans cette logique qui vise à faite douter les algériens des positions et décisions prises par les hautes autorités du pays à mettre fin à ce tutorat néocolonial.
D’ailleurs, comment expliquer, cette nouvelle dynamique d’infiltration d’activistes néocolonialistes dans la vie sociale, économique et culturelle du pays, menée tambour battant de la DGSE, qui dirige les représentations diplomatiques et consulaires de la France depuis l’ère Juppé. Cette même DGSE qui a exfiltré Amira Bouraoui, facilite la tâche aux terroristes du MAK et de Rachad pour occuper les places et lieux publics en France, au moment ou nos patriotes sont interdits par le préfet de police de Paris Laurent Nunez, qui vient d’ailler d’autoriser l’organisation terroriste du MAK à organiser un rassemblement samedi prochain à Paris. Algérie54 reviendra sur ce rassemblement visant la partition de l’Algérie, via le concept colonial de l’ethnie.

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