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Le Conseil de la Nation condamne la résolution européenne: Le corrompu parlement européen et ses élucubrations sur la liberté d’expression

Dans un communiqué rendu public ce jeudi 11 mai , le Conseil de la Nation a dénoncé vigoureusement, la résolution adoptée  par le Parlement européen sur «la situation de la liberté de la presse en Algérie».

Qualifiant ladite résolution, d’«ingérence flagrante dans les affaires internes d’un Etat souverain  et de provocation à l’encontre du peuple algérien», la chambre haute du parlement souligne  sa franche « désapprobation » d’une «« déclaration tronquée » et « constituant un dérapage grave » et « un dangereux précédent » de l’institution européenne. Cet agissement est en « violation du droit international et  fait perdre à cette institution  européenne le peu de crédibilité qui lui restait aux yeux des honorables nations de ce monde », a encore affirmé le Conseil de la Nation.

Pour le conseil de la Nation,le Parlement européen n’est qu’une institution arrogante qui réclame les droits de l’homme dans certains pays et soutient leur violation dans d’autres.

Il appelle l’institution européenne  à abandonner « la politique de deux poids deux mesures et à ne pas nourrir la haine apparente contre les pays qui ne se conforment pas à sa politique », et l’exhorte à se consacrer à chercher plutôt à retrouver sa crédibilité sérieusement malmenée avec le scandale de corruption qui l’ébranle depuis des mois déjà.

Et d’ajouter « si le parlement européen veut s’intéresser aux droits de l’homme il n’a qu’à regarder du côté de la Palestine où les crimes les plus odieux et les pires des violations sont quotidiennement commis contre des femmes et des enfants innocents ».

Justement cette résolution, sous forme de guerre de désinformation menée contre l’Algérie, coïncide avec le premier anniversaire de l’assassinat avec préméditation de la journaliste américano-palestinienne Shirine Abu Aqleh.
Il convient de rappeler, aux membres de cette institution européenne, éclaboussée par des scandales de corruption que le patron de Radio.M a été condamné pour financement étranger, et activités étrangères à l’exercice de la profession journalistique. Ce parlement en manque de crédibilité devra se référer à la charte de Munich, qui détermine l’activité du journaliste, et l’activité du militant et aux lois occidentales qui interdisent le financement étranger. Le parlement en manque de crédibilité, devra nous expliquer pourquoi, il observait le silence sur l’interdiction illégale et arbitraire des médias russes, comme Sputnik ou RT, et sur l’emprisonnement de Julian Assange, menacé par une extradition vers les USA, où il est condamné à purger des dizaines d’années de réclusion criminelle.

 

 

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