Même dans sa tombe, le « Chahid Palestinien » fait peur à l’entité sioniste, et ses soutiens médiatiques. Comme promis, Algérie 54 évoque le cas de France 24 et sa stratégique médiatique basée sur le mensonge, et la liberté d’expression à sens unique, dont les victimes récentes sont quatre journalistes qui bravé la violence de l’armée sioniste et ses colons racistes et expansionnistes pour livrer des reportages objectifs aux téléspectatrices et téléspectateurs de cette chaîne inféodée au Quai d’Orsay qui n’est pas à sa première violation de l’éthique et le professionnalisme. Deux chefs d’accusations collés arbitrairement aux quatre journalistes palestiniens. Explications
Lire : Pour avoir utilisé le mot »chahid »: France 24 enquête avec sa correspondante en Palestine Occupée Et :France 24 suspend quatre journalistes hostiles à l’agression sioniste
Quand France 24 devient une tribune médiatique pour le chef terroriste de l’AQMI
Pour justifier la décision de suspendre les quatre journalistes , France 24 a fait savoir dans un communiqué que « les quatre journalistes concernés ont été dispensés d’activité dans l’attente des résultats de l’audit », soulignant que « la charte de déontologie de France Médias Monde (France 24, RFI, MCD) prévoit que les journalistes du groupe, lorsqu’ils publient sur des blogs, forums, sur les réseaux sociaux et tout espace dédié à l’échange public d’informations, doivent veiller « au respect des règles professionnelles et déontologiques (…) et à ne pas violer les valeurs d’éthique, d’indépendance et d’impartialité de l’entreprise (…) ».
Où sont les règles déontologiques et professionnelles quand France 24 invite le chef terroriste Abou Oubeida Youssef Al Annabi en vue de justifier ses actes criminels dans la région du Sahel, en particulier au Mali et au Burkina Faso, deux pays qui avaient « chassé » la chaîne française de leurs territoires pour les mêmes motifs, ceux du non-respect des critères professionnel et déontologique et de désinformation (lire: France24 mise en demeure au Burkina Faso) et (Mali: Les médias France24 et RFI, interdits de diffusion)
Cela sans parler des reportages visant à saborder la tenue du Sommet arabe d’Alger de novembre 2022 et les choix politiques et économiques de l’Algérie, décidés loin du diktat de la France et son Etat profond bien omniprésent à l’époque de la gouvernance d’El Isaba.
Ou est passée l’ONG RSF, pour défendre les journalistes palestiniens?
Reporters sans frontières (RSF) n’a pas manqué en mars 2022 de dénoncer la décision des autorités maliennes de suspendre France 24 l’a qualifiant même d’attaque contre la liberté et l’indépendance de l’information . Ou est passée aujourd’hui RSF, pour dénoncer cette décision arbitraire de suspendre des journalistes palestiniens qui s’exposent quotidiennement à la menace de la mort et la violence imposées par l’entité sioniste, que le média français défend aujourd’hui au nom de l’éthique et le professionnalisme pour avoir utilisé dans leurs couvertures la terminologie qui ne plaît à l’occupant sioniste. Cet occupant des territoires palestiniens n’a pas hésité un instant à assassiner lâchement et froidement la journaliste palestinienne Shirine Abou Aqleh en mai 2022, en plein exercice de sa profession et à tirer à bout portant sur le journaliste français Jacques- Marie Bourget, lorsqu’il faisait la couverture médiatique du siège du Chahid président palestinien Yasser Arafat dans sa résidence à Ramallah.
D’ailleurs, les médias français pro-sionistes au même titre que l’ONG dirigée respectivement par Robert Menard et Christophe Deloire, bénéficiaire de sursoit du prix Nobel israélien Dan David, n’osent jamais évoquer les cas des martyrs de la presse, car ces victimes vivantes ou mortes ‘ chahids’ continuent de faire peur à l’entité sioniste et leurs larbins comme France 24 et RSF.
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