On a appris  que le sulfureux journaliste  Abdou Semmar avait entamé des démarches auprès de l’ambassade d’Israël à Paris pour déposer une demande d’asile comme réfugié politique en Israël.
Menacé par le mandat d’arrêt international  ,  il aurait effectué  cette démarche en catimini en compagnie de l’ancien président de la communauté sépharade unifiée du Québec.
Ce dernier qui est l’un des fervents soutiens du MAK au Canada est un ressortissant canadien d’origine marocaine qui avait fait parler de lui déjà en décembre 2015 lorsqu’il avait reçu en grandes pompes Ferhat Mehenni le président du gouvernement  autonome kabyle dans les locaux du Centre Consultatif des relations juives et israéliennes (CIJA) au Québec, avec tous les membres du Conseil .

Depuis , Il est devenu le porte parole de l’indépendance de la Kabylie et , un soutien du mouvement en Israël et en France .
Abdou Semmar qui est menacé par le mandat d’arrêt international lancé contre lui par le gouvernement algérien après sa première condamnation par le tribunal d’Alger en novembre 2020 dans une affaire de chantage et, extorsions de fonds dont a été victime « ses amis  » Mahieddine Tahkout et Med Bairi ,  actuellement  en détention après leurs condamnations à de lourdes peines d’emprisonnement pour faits de corruption.

Un second mandat d’arrêt international sera lancé contre le blogueur en août 2021 dans l’assassinat du jeune Djamal Bensmail qui fut assassiné , lynché à mort et brûlé vif en Kabylie par des militants du MAK ..
Le Président du MAK et les autres consorts (Med Larbi Zitout, le propagandiste Hichem Aboud , le blogueur Amir DZ, et bien entendu Abdou Semmar sont poursuivis pour « …adhésion à un groupe terroriste ciblant la sécurité de l’Etat algérien et l’unité nationale , financement d’un groupe terroriste et, blanchiment d’argent  ».

Les charges sont lourdes et les peines vont de la perpétuité à la peine capitale.
Abdou Semmar longtemps protégé par les français sur leur territoire.
En réalité depuis son exfiltration en Algérie par l’organisation Reporters Sans Frontières présidée à l’époque par Robert Ménard  , le journaliste de l’extrême – droite française , Abdou Semmar recherché par la justice algérienne , se retrouve dans une situation très peu confortable à Paris , depuis la visite du Président Macron en Algérie où il était question parmi d’autres sujets abordés avec les responsables algériens du « sort » de ces criminels réfugiés à l’étranger et notamment en France .

« Nous utiliserons tous les moyens pour que Ferhat Mehenni et les autres paient cher… » avait déclaré le 18 août dernier à l’occasion d’une entrevue accordée aux médias algériens, le Président Algérien Abdelmajid Tebboune .
La condamnation est sans appel …
Alerté par les sources dont il dispose par ses relais en Algérie et à Paris , il aurait pris la décision précoce de prendre ses distances vis à vis de ses protecteurs français  qui l’abritait et le chaperonnait contre la justice algérienne.
Il a donc intelligemment et , très certainement sur recommandations de ses « employeurs » décidé de prendre de l’avance sur l’exécution éventuelle du mandat d’arrêt international que les autorités judiciaires françaises, serait amenées à accomplir pour être agréables aux algériens  et, faire oublier leur position absurde concernant cet énergumène et les autres , et qui n’a fait que compliquer la relation entre les deux pays .

Cette démarche aurait été «  arrangée » et soutenue par le président de la nébuleuse terroriste du MAK , Ferhat Mehenni qui aurait sollicité l’aide de ses amis dont un ex- officier du Mossad , un certain Yossi Alpher qui, dans les années 2012 a joué un rôle important dans « la reconnaissance » du mouvement kabyle par les les israéliens.
L’autre intermédiaire qui aurait joué un rôle considérable dans la préparation de cet accueil à l’ambassade de Paris , est un diplomate marocain , du nom de Omar Rabil  un très proche de Ferhat Mehenni et qui soutient le mouvement autonomiste berbère .
On connaît maintenant la relation stratégique très «spéciale »établie entre le Maroc et Israël et , dans ce contexte que Abdou Semmar a obtenu l’assistance pour ce rendez – vous à l’ambassade de l’entité sioniste à Paris .
Même les intimes  du journaleux, n’ont rien su  de cette entrevue mystérieuse qui est restée secrète et sibylline.
Abdou Semmmar reste en tout cas convaincu de pouvoir bénéficier de cette protection qui va lui permettre de se maintenir sur le sol français dans l’attente d’une décision du gouvernement sioniste, car , jusqu’ici il n’a bénéficié que d’une résidence française et d’une protection « d’accompagnement » en tant « qu’opposant » algérien .
Maintenant qu’il ressent le danger ,  menacé qu’il est par l’exécution du double  mandat d’arrêt international lancé par les autorités judiciaires algériennes , il semblerait qu’il vit enterré,  et s’affiche moins bien souvent dans le quartier de Saint -Ouen , en région parisienne où se trouve le siège de la nébuleuse terroriste du MAK, plus exactement au 9-11 Avenue Michelet où se retrouvent quotidiennement les cadres et acolytes du MAK du terroriste et maître-chanteur Ferhat M’henni et même des partenaires officiels .
Cette permanence biens gardée est fréquemment visitée  par des « politiques étrangers »  reste le lieu privilégié pour l’organisation terroriste de rencontres avec la presse étrangère.
On dit également que ces derniers mois l’inepte journaleux qui n’arrête plus ses diatribes et ses insultes contre l’Algérie et ses institutions, s’est rendu tout dernièrement au Maroc pour accompagner le chef  terroriste du MAK qui a multiplié ses séjours dans la royauté cherchant des soutiens et , même une reconnaissance du gouvernement fantoche kabyle.
Le blogueur est de tous bords . Il navigue là où ses intérêts le conduisent dans ses opérations de chantage et d’intimidation afin d’extorquer de l’argent ou des valeurs , par les menaces de révélations diffamatoires exercées sur des personnes en Algérie comme en France et. ailleurs en Europe.
Cette pratique devenue chez lui une didactique et même un  premier métier , a déjà été pratiquée par lui à Alger dans les années 2016 lorsqu’il professait dans les milieux mafieux dont il est devenu le porte-parole officieux par le moyen de son journal .

Il ne manquait aucune occasion pour les couvrir de louanges et d’approbations sur ses pages rédigées sans retenue avec l’aide de son compère Boudiab , le photographe , qui se plaisait à immortaliser par des photos toutes les têtes de cette organisation criminelle, souvent d’ailleurs avec excès .
C’était là le journalisme de bas étage qu’exerçait Abdou Semmar à Alger avant « de déménager à Paris » et continuer son métier sans embarras, parfois avec habileté et, la grande discrétion qu’on lui reconnaît .
Bien entendu , il était devenu le larbin des services français qui le couvaient et le protégeait.
Et, en même temps , il avait été initié pour devenir « l’agent » par définition qui devait renseigner et, surtout de défigurer l’image des autorités algériennes par le mensonge et la calomnie .
Personne n’est ménagé. Et, cette logique devenue habituelle sur son site , touchait également les hauts  fonctionnaires de toute catégorie et également les personnes du secteur privé accusées de tous les maux, dans le seul but de provoquer une « espèce de vindicte populaire » et même de susciter un état d’agitation et de désordre en Algérie .
C’est d’ailleurs de cette manière qu’il avait couvert  les manifestations du Hirak de 2019 et 2020 et les incendies criminels de 2022 qui  ont touché la Kabylie et d’autres régions de l’est  algérien.
Et, dire qu’il était l’un des initiateurs de toutes ces catastrophes avec les autres criminels poursuivis comme lui par la justice algérienne « pour assassinat du jeune Djamel Bensmain lynché cet brûlé vif par les troupes de la nébuleuse terroriste du MAK et autres islamistes a l’origine de ces incendies meurtriers.
Les mandats d’arrêt internationaux  lancés contre lui et les autres coupables du crime , n’ont pas été jusqu’ici exécutés . Mais la visite de Macron laisse entrevoir une issue à ces mesures .
Abdou Semmar en est conscient et c’est pour cette raison qu’il a demandé l’asile politique en Israël …

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