Suite aux pressions, chantage et menaces des lobbys sionistes au Canada, un quotidien québécois a été contraint de s’excuser et de faire son mea culpa, après avoir publié une caricature légendée « Nosfenyahou, en route vers Rafah », le Premier ministre de l’entité sioniste représenté sous les traits du vampire Nosferatu. Une caricature qualifiée d’antisémite pour réprimer toute dénonciation des crimes contre l’humanité perpétrés par l’entité sioniste. Le dessin diffusé par le site d’information en ligne La Presse a été retiré quelques heures après sa publication.
La doctrine sélective des caricatures au nom de la liberté d’expression
Le 11 mars dernier, le journal français Libération a publié le premier jour du mois sacré de Ramadhan pour les musulmans de la planète, une caricature offensante à l’égard du peuple palestinien de la bande de Gaza, victime d’une extermination organisée par le bourreau et génocidaire Benjamin Netanyahou, signée par Corrine Rey, l’ancienne sociétaire de Charlie Hebdo. Une caricature qui a suscité l’indignation suite à cette provocation gratuite, mais aussi un soutien de la part de certains zélés qui font de l’amalgame entre la liberté d’expression et le respect des valeurs d’autrui.
Ces zélés réagiront-t-ils aujourd’hui, à la suppression de la caricature ciblant le criminel de guerre Benjamin Netanyahou?
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