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December 9, 2025

La question de l’Etat en Algérie

La question fondamentale qui revient toujours est que l’Etat en Algérie est toujours sous la menace d’être accaparé par les privilégiés et l’oligarchie d’affaires, ce qui en priverait les multiples volontés collectives populaires hétérogènes de leur tâche historique de le construire. 

Quand le Français considérait l’Algérien assimilable à la nation française

Ce sont les mêmes énergumènes appartenant à la même obédience politique cocardière française qui, hier, se battaient, au péril de leur vie, contre les Algériens pour les maintenir dans le giron de la France, en dépit de leurs particularismes culturels et religieux radicalement différents, qui, aujourd’hui, proclament, à propos des citoyens français ou immigrés d’origine algérienne, leur in-assimilation foncière à la société française du fait de leurs supposés mœurs «étranges et étrangères».

L’employabilité et la rente

Aktouf n’est pas allé au fond du problème, persiste dans la tragédie, n’a pas compris et recherché la cause causante de cette employabilité, malgré ses 54 ans de pratique de la science économique au Canada (d’autres pour des raisons alimentaires et esthétiques se sont ralliés totalement à l’économie néolibérale au Canada et se sont retrouvés vénalement porte-plume au service des oligarques en Algérie).

J’aime Bladi, j’irai voter

Le Président de la République Monsieur Abdelmadjid Teboune,a signé le 08 juin 2024 un décret présidentiel portant convocation du corps électoral pour la tenue d’une élection présidentielle anticipée le 07 septembre prochain.

Y a-t-il péril fasciste en la demeure France ?

Bis repetita non place ! On reprend les mêmes pions pour rejouer la même partie de jeu dénuée d’enjeux politiques et économiques. À l’occasion du scrutin européen, de nouveau, l’élection attendue, selon tous les sondages, de plusieurs candidats du Rassemblement national au Parlement européen fournit l’opportunité à la classe dominante française, en particulier le gouvernement Macron, d’agiter l’épouvantail du fascisme par la diabolisation de l’extrême droite. Elle lui offre surtout l’occasion politique d’exhorter les prolétaires à défendre la démocratie bourgeoise en portant leur suffrage sur les candidats dits « Républicains », qui incarneraient le camp du « Bien », selon la bien-pensance.