Par: Boualem Snaoui
Les camarades m’aiment beaucoup, puisque même en période de repos, en principe f-estival, ils me font partager les nombreuses attaques aux harpons tirés, à partir des « sous-marins » politiques « Fronçais », par les « hommes-grenouilles » du FMI (France-Maroc-Israël). Ces serviteurs permanents du système colonial organisent des battues sous-marines visant le peuple algérien, le peuple de France, et au-delà toute l’Afrique à qui le régime refuse « d’attribuer » le titre de « Révolutions », un peu comme chez les « Arabes ». Ce qui fait tourbillonner la tête avec ce système qui tourne à plein régime, qui « é » Borgne et mutile les peuples en « sou-France », c’est qu’il carillonne partout qu’il est un fervent « défonceur » de la liberté des peuples qu’il a « coloniser-exterminer » au moyen de la carte corrodée des « Droits de l’Homme » pour exclure la Femme.
Si l’on comprend bien les « in-faux » sous la presse du système, qui vont toutes dans le même sens, les forces Kakis déployées contre le peuple en France, vont sauver démocratiquement les peuples à qui on a infligé la traite négrière durant des siècles !!! Cette « presse » aux ordres du pouvoir, qui n’a aucune honte à donner des leçons de liberté aux colonisés d’hier, pour assassiner définitivement le rêve d’émancipation en vue, a même trouvé le moyen de faire passer ses déjections d’informations coloniales, pour de la crème Chantilly.
Le « Dilem» avec les révolutions panafricaines, c’est que le système ne les a pas colorées avec l’encre de la caricature raciste du « Dupont Lajoie », et ne sont donc pas labélisées par les « merdias » indigènes de la collaboration de leur « Race ».
Parmi la faune des collabos, j’ai choisi un tract d’« in-faux » et de haine, déversées contre toute l’humanité, qui dégouline « sous-presse » en « F-ronce », chez Benchicou (et son Hamid l’Arab qui cache la forêt nazie) le roi de l’intox dans son canard des ténèbres appelé à l’envers « matin d’Algérie ». Y sont débités industriellement les faschos fâchés titulaires du code génétique Haplopgroupe E1b1b (Y-ADN) du Führer, comme décrit par Jean-Paul Mulders et Marc Vermeeren.
Comme toute la « Presse » du système du FMI (France-Maroc-Israël), ce canard électronique boiteux néocolonial se définit comme indépendant, et assure la promotion de la liberté d’expression terroriste et la diversité des opinions racistes. Eh bien, il va certainement me publier, afin que ses lecteurs, pris en otage sous le statut d’indigène sans cesse renouvelé, puissent apprendre que cette boîte noire de l’histoire qui prétend interdire les contributions racistes, fait la promotion des titulaires du code-barre des barbares fabriqué par le professeur « O’ mérite » Salim Chaker et son ami F2M (Ferhat Mendel Meheni), le Ben Laden algérien inventeur de la génétique en politique de sa RACE.
Si Hamid « l’Arab », le gourou de l’intox germinale de ce tract néocolonial, qui prétend être le berbère de Salluste (rude, grossier, mangeant de la chair de fauve, …) est trahi par le nom qu’il porte, Bentchicou, quant à lui, a oublié d’exhiber fièrement ses gènes de Kouloughlis. En effet, Bentchikou est une « fosse » pièce, un peu comme celle du Biskri « Said Samedi », puisqu’il est originaire de Miliana, cette ville fondée au Xe siècle par le prince Ziride Bologhine Ibn Ziri. On attend la divulgation de leur carte factorielle de la génétique de leur politique, pour nous assurer qu’ils sont bien détenteurs de l’Haplopgroupe E1b1b (Y-ADN) de leur Führer, notamment au vu des pétitions qu’ils signent en masse, pour exiger l’inoculation du nazisme au peuple algérien.
Ils le savent, et nous aussi ; c’est pour cette raison que ces « rabatteurs » néocoloniaux de la génération « Z » adoptent la reptation des « ratons » malins , au même titre que tous les racleurs pourris de légumes en sou-France, pour blanchir le terrorisme international. Suite à mon courrier à l’intention de Patrick le Hyaric, après celui de Bernard Deschamps, dénonçant la présence du groupe de terreur MAK dirigé par F2M ( le moine Ferhat Mendel Mehenni, roi des Kabyles A.O.C) à la fête de l’Humanité en 2017, c’est ce canard des ténèbres de Benchicou et Hamid « l’Arab » qui s’est chargé, bien sûr par hasard, de me répondre en m’excluant de ma culture au moyen de leur QR-code fabriqué par leur professeur « O’ » mérite Salem Chaker. Il est visionnaire ce canard qui sentait déjà le MAKak au moins depuis 2017, en polissant la tronche macabre de ces groupes classés terroristes, construits pour le bonheur du peuple algérien, puisqu’ils se sont auto-qualifiés de « pacifistes » qui « n’émargent pas aux extrêmes ». Les terroristes du peuple algérien, qui poussent comme des grappes à Paris, sont des pacifistes en F-ronce !!!
Bingo, Benchicou a décroché le gros lot à tire-larigot, surtout qu’il ne nous a pas tout dit sur « les bons de caisse/bons du trésor » trouvés dans ses bagages à l’aéroport d’Alger en 2004. Il doit bien avoir gardé un peu de souvenir, après son arrestation, malgré la paraplégie de ses neurones supérieurs. Remarque, il n’est pas à son coup d’essai, puisque le propriétaire de la LADA rouge dans les années 1990, a été rédacteur en chef d’Alger-Républicain, rien que pour trahir la mémoire d’Henri Alleg, d’Henri Maillot, de Georges Rafini, de Mohamed Belkacem, d’Abdelhamid Benzine, d’Amar Khalouf, d’Abdelkader Benamara, de Mourad Ait Saada, et d’Abdelkader Choukha, et finir humilié en rouge-brun, après la grève qu’il a organisé contre le parti qui l’a nourri.
Il créa (pour ne pas dire Croa- Croa) le journal « Le Matin » en 1991, sur du papier calque de celui de « Fronce », avec des partenaires (comme Tahar Medjdoub) dont beaucoup ont vite quitté le navire, après s’être rendu compte de la supercherie du descendant du calife de Miliana, expert en dérive morale et politique. Il avait pris de l’avance avec les bons du trésor, puisque déjà M. Dembri (frère de l’ex ministre des AE), l’administrateur de ce journal lui avait lancé sur sa tronche d’informateur du système de « Xavier le Drian court toujours derrière l’Algérie »: « M. « Benchicour » vous êtes un voleur, et mon devoir est d’informer les associés ». Sous la pression de la vérité, le patron rouge-brun, accepta son éviction, tout en gardant le filon d’un Mollah vendeur de babioles, de chinoiseries et même de tapis de prière volants au secours de ses fidèles. Un vendeur de tapis, quoi !!! Ce n’est pas pour rien qu’il a gagné le titre de « Bencucu » dans les rédactions d’Alger.
Evincé donc de la rédaction du journal qu’il a lui-même fabriqué, pour détournement de fonds, le « Chicour » Benchicou court toujours, en indigène serviteur du système, dans les rues de Paris pour souiller celles d’Alger. Il s’attache à généraliser le statut de sous-homme, y compris à la femme algérienne qu’il a écroué dans le folklore et la danse du ventre au grand bénéfice des colons. Il n y a qu’à voir les publications des terroristes berbéristes internationaux, associés aux « Takfiristes », tous déguisés en démocrates, mais qui forment la « Riposte » coloniale contre l’indépendance et la liberté du peuple algérien, dirigée par un grand « démoctateur » du système colonial, le fabuleux destin d’Ali Ait-Djoudi.
Ali Ait Djoudi, le pote du moine Makak F2M (Ferhat Mendel Mehenni), qu’on appelle l’homme au blouson noir (mais surtout fédérateur des idées noires) a élu domicile pour ses complots non seulement au siège de l’association berbériste de Montreuil « Taferka », bichonnée par le système colonial, mais aussi chez le Chikour « Bentchicou ». Dans ce siège « Taferka » de l’indigénat moderne à Montreuil, se fabriquent les complots degré zéro contre les peuples africains, notamment le peuple algérien, avec les tenants du Kamis Akbar et ceux de la fourchette de Jacques Bénet. Pour leur université d’été du terrorisme contre le peuple algérien, la Riposte internationale contre la liberté des peuples du Sud, s’est préparée dans le département du Val d’Oise, évidemment sans le consentement de Rachid « T’es mal », le sénateur socialiste (PS) de « F-ronce ». Pour remplir sa salle universitaire d’été 2023 du néocolonialisme dans le Val d’Oise, avec des sujets bien calibrés, Ali Ait-Djoudi a même mouillé sa chemise en rabattant par téléphone des citoyens choisis sur le volet. Il me rappelle les méthodes bien rodées des partis politiques, qui rémunéraient des figurants pour assister aux meetings des gourous du système. Ce gars a été à la bonne école des reptiles de la politique.
C’est dans une publication Makak « AOC », en date du 2 octobre 2005, que j’ai appris la dissolution du journal « Le Matin » en date du 10 août 2005, suite à une décision de l’assemblée générale de la société éditrice, avec un trou de 128 millions de dinars dans la tirelire du maître gourou du dépérissement, déclaré par son Fodil Mezali (successeur du roi de l’info). Ce qui n’a évidemment pas plu à Ghania Hammadou, Malika Touazi (qui me rappelle François) et Fatiha du même nom d’espèce, qui ont réagi pour enfoncer l’humiliation de « Mohamed prends ta valise de billets ».
Ce matinal de « l’in-faux », importateur de condiments et d’ustensiles de cuisine, a forcément des recettes gastronomiques sous les aisselles politiques puantes, pour atterrir dans une geôle à Boulogne-Billancourt et couler des jours indigènes heureux. S’il a un trou de mémoire, il peut s’adresser à son pote Yahia Bounouar, abonné aujourd’hui au plateau médiatique de prière des coupeurs de têtes du peuple algérien, démocratisés par le système colonial. Yahia Bounouar pourra peut-être lui rafraichir la mémoire sur ses lamentations et sa colère à l’endroit de son employeur-ambassadeur (pas content du service de son salarié), un certain 14 juillet 2003, devant un parterre d’invités médusés.
On ne peut pas dire que ce salarié « O’ mérite » ne s’est pas rattrapé depuis cette époque, pour continuer à servir et se servir au sein d’un système à l’agonie que haïssent notamment les peuples des anciennes colonies qu’il a gazé, et qu’il continue à bombarder.
Puisque leur monde est construit à l’envers pour assurer la sou-France du peuple, que le régime de O’Macron é « Borne » sans limite, tout en nous promettant de vouloir sauver le peuple nigérien, l’un des peuples le plus appauvri au monde par le système de la FrançAfrique, je dois conclure par l’introduction prévue au disciple-sujet Sid Le Ver (Lakhdar) Boumedienne qui est dans le fruit pourri de Benchicou en sou-France.
Ce caméléon du zoo de l’ancien journaliste du sport politique, dirigé par l’ « Arab » Hamid, qui émarge dans ce canard des ténèbres, croit qu’on a oublié ses diatribes indigènes contre le peuple algérien. Il a osé même sortir le petit jeu d’injures et d’insultes d’indigène éclairé, à l’égard de mes camarades restés encore debout devant le vent de fascisme qui envahit l’hexagone. Cet ancien sucre-taire du FFS (Front des Fusées Socialistes) doit sans doute enseigner (c’est son métier) les livraisons des valises de billets de banque, en provenance du royaume du hachich et bakchich, que feu Si El Hafid avait divulgué dans une vidéo sur la chaîne des berbères (AOC) génétiquement identifiés. Et si ces bobines continuaient à couler, selon la théorie économique du ruissellement politique des capitaux bloqués au pauvre peuple du pays du roi riche en hachich. Il ne doit certainement pas en bénéficier.
Le Ver « Lakhdar » l’Oranois va trouver peut-être un autre pseudonyme, pour enquêter sur le soutien de RSF (Reporter avec toutes les Frontières) apporté en 2004-2005 au « Chikour » Bentchicou, par le gentil Robert Ménar, fils d’Emile Ménard (membre de l’OAS), et dont l’oncle était à la commande de l’avion des généraux putschistes. Cela lui évitera au moins de confondre les poneys et les Pur-sang Arabe, lui qui déroule son encre de caméléon dans le tract de Benchicou, ce papier qui célèbre les deux derniers régimes coloniaux au monde. Faudrait-il s’interroger sur les raisons qui ont poussé le quotidien centriste allemand « Handelsblatt » à s’alarmer sur la montée du fascisme en France, en 2021, et à comparer le régime à celui la République de Weimar finissante des années 1930 ?
Il ne reste plus au lecteur, qui n’a pas encore compris pourquoi le kaki n’est pas retenu dans les révolutions colorées du système (qui ne sont pas arabes), à demander au Ver « Lakhdar » l’Oranois du fruit pourri de tous les matins d’Algérie, à enquêter sur les dimensions 49.3 de la queue leu-leu de Boualem Sansal, cet équidé colonial à la belle crinière montée à l’envers. Par la même occasion, lui demander les raisons pour lesquelles le système ne l’a pas encore gratifié du titre de professeur « O’ mérite » colonial, pour accéder à la strate de Salem Chaker, le scientifique du code de la génétique en politique.
C’est Amar Djerrad, mon camarade de lutte contre les néofascistes, qui va avoir du boulot pour déchiffrer les énigmes de « Xavier Le Drian court toujours derrière l’Algérie » que je viens d’étaler au dessus de la galerie « merdiatique » de l’annélide « Lakhdar » du système néocolonial. Et puis, rien que pour lui faire plaisir, je voudrais lui faire part de l’appartenance d’un grand folkloriste berbériste, le chansonnier Ali Amrane, à la famille du calife d’Ankara. Ce sujet symphonique du folk songs du berbéristan, qui fait le bonheur de TV 5 Monde et de « Barbares TV », s’appelle en réalité Ali Kouloughli. Ce natif du fort turc de Boghni (Mechtras) a emprunté le nom de son grand père « Amrane » pour faire de la berbérologie sur la scène de la « F-ronce » à fric, et dribler avec ses origines d’Ankara. Comme quoi, mon cher Amar, la musique fait danser même le Ver « Lakhdar » de terre dans le trou pourri du turc bencucu.