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Kamel Daoud défend sa « Barbie »

Fidèle à un statut établi par lui-même, celui du néocolonisé et néo-indigène, le journaliste et auteur Kamel Daoud vient de récidiver en s’attaquant à la décision d’interdire la projection du très controversé film « Barbie ». Kamel Daoud estima que l’interdiction est liée au diktat des islamises, oubliant au passage qu’il était l’un des leurs durant la période de l’obscurantisme et du terrorisme.

Amnésique, également puisqu’il avait été définitivement condamné, en 2019 pour violence conjugale à l’égard de son ancienne épouse, comme nous l’avons révélé dans un précédent article. Un comportement qui n’a rien à envier à celui des obscurantistes et islamises qu’il critique aujourd’hui.
Pour en revenir au très controversé film « Barbie » l’interdiction est fortement justifiée par l’ancrage des valeurs ancestrales algériennes, totalement à l’opposé des valeurs que véhicule le néolibéralisme, et l’Open Society de la mondialisation.
Otage de son profil de néocolonisé, comme il l’a bien décrit l’auteur algérien Ahmed Bensaada dans son livre (Kamel Daoud: Cologne contre-enquête) Kamel Daoud poursuit samésaventure de tirer tout ce qui est algérien crachant volontiers sur un environnement supposé être le sien.

Pourquoi ne s’exprime-t-il pas sur le malaise de la société française, et la violence grandissante qui marque aujourd’hui cette « civilisation » qu’il encense ? Ne voit-t-il pas la liberté d’exprimer bien matée par les matraques et LBD des BRAV?

Certainement pas, car il risque de perdre des plûmes et de nationalité « offerte » par Jupiter pour sa haine exprimée à l’égard de son pays d’origine.

 

 

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