Dans le cadre de sa politique expansionniste, le régime du Makhzen a fait de la « marocanité » du Sahara Occidental, l’unique raison de son existence, et pour réussir son entreprise, il ne lésine pas sur les moyens, allant de la corruption des hommes politiques dans les quatre coins du monde au nom du lobbying, jusqu’à la féroce répression du Peuple Sahraoui, en passant par le recrutement de certaines personnalités et associations sahraouies fantoches pour atteindre l’objectif de l’occupation des territoires sahraouis.
Si les entités et personnalités politiques étrangères sont soudoyés par l’attribution de projets juteux à l’intérieur des territoires occupés, en violation des droits international, il en demeure, que certaines personnalités et associations sahraouies sont soudoyées par l’argent et surtout par les gains du Haschich ( commercialisation et consommation, pour les neutraliser et éviter qu’elles rejoignent le camp des combattants pour la libération du pays).
Aujourd’hui, Algérie54 jettera son dévolu sur les associations et personnalités fantoches au service du Makhzen. Voir la vidéo https://www.facebook.com/watch/?v=1147976859135743
Le rapport des services de renseignements espagnols cite l’ACAVIT, une association censée défendre les droits des victimes du terrorisme iles aux Canaries, ainsi que l’ASDEH, une autre association prétendument engagée en Espagne dans la défense des droits de l’Homme. Ces associations sont devenus des paraboles des services marocains, soutenues par des Sahraouis félons et collabos. L’objectif assigné est de porter atteinte à l’image du combat du Polisario, en faisant propager des mensonges et de la suspicion au sujet de son combat pour l’indépendance et la libération des territoires sahraouis .
Cette hostilité à l’égard de ce combat à été évidente à l’occasion de l’hospitalisation du président sahraoui Brahim Ghali en Espagne, avec le dépôt d’une plainte l’accusant de tous les maux de la « torture » dans les territoires sahraouis libérés et dans les camps des réfugiés sahraouis à Tindouf.
Idem pour l’association espagnole appelée « La liberté est votre droit » qui sans présenter des preuves tangibles, véhicule des mensonges sur des prétendues tortures à l’égard des sahraouis des camps des réfugiés sahraouis de Tindouf. Des mensonges balayés au mois de mai dernier par l’ambassadrice des Etats-Unis d’Amérique Elizabeth Moore Aubin, à l’occasion de sa visite dans les camps des réfugiés sahraouis à Tindouf. Des mensonges balayés aussi par l’envoyé spécial du SG de l’ONU au Sahara Occidental Staffan De Mistura, lors de sa récente visite aux territoires sahraouis libérés.Or, c’est le Maroc qui empêche toujours Staffan de Mistura, envoyé personnel du SG de l’ONU pour le Sahara Occidental, de se rendre dans les territoires occupés.
Les camps de réfugiés, eux, sont ouverts aux visiteurs étrangers, et agents de la MINURSO.
La société civile française de plus en plus solidaire avec le combat des sahraouis
Les défenseurs de la cause sahraouie ont le vent en poupe et n’hésitent plus à investir les terrains hostiles. Parallèlement aux derniers succès diplomatiques, la cause sahraouie vient d’enregistrer en France un retentissant succès à l’occasion de la visite dans l’hexagone de la symbole du combat contre la torture et la répression Soltana Khaya.
Cette dernière, tout au long de son séjour parisien, a été accueillie comme héroïne, à l’instar de cet accueil qui lui a été réservé par le conseil municipal de Mante la Ville, en banlieue parisienne
Soltana Khaya a été reçue en grandes pompes par les élus du conseil municipal de cette commune, au grand dam des larbins du Makhzen.
Par ailleurs, il faut noter qu’un changement de ton et de position est entrain de s’opérer au sein de la société civile française grâce au travail de fond effectué par la diaspora sahraouie, soutenue par des associations et personnalités françaises comme Claude Mangin, la combattante épouse du détenu politique sahraoui Naama Asfari, un des héros de Gdeim Izik.