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L’après- Bali: L’eau par qui le mensonge du Makhzen est mis à nu

Le régime du Makhzen devenu une succursale de l'entité sioniste, ne cesse de mener une guerre contre le peuple algérien.Une guerre qui reflète bien la doctrine de ce régime féodal , annexionniste et expansionniste qui n'a rien à envier au régime d'apartheid des généraux de Tel Aviv.

Le régime du Makhzen devenu une succursale de l’entité sioniste, ne cesse de mener une guerre contre le peuple algérien.Une guerre qui reflète bien la doctrine de ce régime féodal , annexionniste et expansionniste qui n’a rien à envier au régime d’apartheid des généraux de Tel Aviv.

La guerre du régime du Makhzen contre l’Algérie comporte plusieurs visages, politique en s’alliant avec le sionisme, les néocolons et leurs sous-traitants terroristes du MAK et de Rachad, propagandiste et subversif via les délinquants ayant fui l’Algérie, social, via le trafic de drogue, et économique, comme l’atteste cette guerre de l’eau bien illustrée par l’assèchement de la région de la Saoura, dont les conséquences sont catastrophiques pour la population de cette région du sud-ouest de l’Algérie.

Un assèchement contraire à la charte des Nations Unies, et du droit international, exigeant la préservation du droit élémentaire à l’accès de l’eau pour la population de la planète. Le scénario de guerre imposé par le régime féodal, qui joue le rôle d’Etat fonctionnel est similaire à celui de l’entité sioniste, qui prive toute la population palestinienne de la bande de Gaza, de cette denrée vitale à la vie, au su et au vu de la communauté internationale.

Une situation qui menace l’existence même de l’Algérie, compte tenu de ses positions constantes en faveur de la souveraineté des Etats et le partage équitable de l’exploitation et la consommation de l’eau, face à l’internationalisation visant à inclure cette denrée vitale à l’eau comme valeur marchande expropriée et entre les mains des plus nantis de ce monde. Des principes qu’a défendus avec brio le ministre algérien de l’Hydraulique Taha Derbal, lors du 10ème Forum Mondial de l’eau, tenu le mois dernier à Bali, en Indonésie.

Taha Derhal avait plaidé la position constante de l’Algérie, consacrant le principe du bon voisinage, bien illustré par l’accord- cadre signé avec ses voisins tunisien et libyen, pour le partage et l’exploitation de la nappe albienne. Le ministre algérien n’a pas manqué de dénoncer les dépassements du voisin de l’ouest, dans la construction de barrages à la frontière avec l’Algérie, est une guerre non déclarée et une grande menace pour la vie de millions d’algériens, contraints de fuir les régions ouest et sud-ouest du pays, en particulier la Saoura, dont le barrage de Djorf Tourba, est asséché suite à cette guerre makhzenienne et qui s’ajoute à la mise à mort de la zone humide de cette région.

La sortie médiatique de Taha Derbal à Bali, et le travail de sensibilisation mené par la délégation algérienne, n’ont pas laissé indifférents des experts , des chercheurs, universitaires, investisseurs, hommes politiques et médias internationaux, présents à ce rendez-vous de Bali, indifférents.

Ce qui explique d’ailleurs, la réaction du régime du Makhzen via ses instruments subversifs et propagandistes, à l’instar de Jeune Afrique et son pistoléro de la rédaction François Soudan, connu pour son sport favori, le mensonge et la désinformation en contrepartie du « blé » dont il en a l’habitude d’en recevoir de ses mentors makhzeniens

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